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 there's a storm on the streets (blaze)

Vio Hayes
https://shotatthenight.forumsrpg.com/t992-vio-they-say-only-the-
silver chapel


Vio Hayes


☾ pseudo : midnight
☾ avatar : tomlinson
☾ querelles : 601
☾ destiny : 29/01/2018
☾ relationship :
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laz ∞ one night, hate you love you
silver gang ✩ sebastian, even,
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bang bang
. ✦ ⊹ Mar 27 Fév - 10:02 ⊹ ✦ .
there's a storm on the streets
Blaze & Vio


nuit tombée, fin de journée. amas de dossiers dans la main. tu laisses ta bécane devant la bâtisse. un scorpion en néon qui brille au niveau du toit, visible à des kilomètres. empire des scorpions qui s’impose doucement dans le désert. la fierté d’être silver qui te prend aux tripes alors que tu te retrouves face à l’armurerie. tu passes les portiques de sécurité facilement. visage familier, passe-droit qui t’évite le moment gênant des mains sales du molosse sur ton corps. signe de tête, doigts qui écartent ta veste en jean pour lui montrer ton flingue dans ton dos. rien de nouveau pour eux. habitude. alors tu avances, tu prends directement l’escalier vers les bureaux. là où les choses sérieuses sont traitées. stratégie, plans sur le long terme, développement de l’industrie. tu ne t’aventures pas parmi les petites mains qui fabriquent, les ouvriers qui sont à l’origine de la gloire des silver. toi t’es au dessus. toi, tu veux croire que tu fais partie de ceux qui portent les costumes-cravate, ceux qui regardent les petits gens fabriquer les armes alors que toi tu seras celui qui appuiera sur la détente, tu seras celui qui l’utilise. elle est là la différence. tu aspires à plus. poing qui frappe à la porte, tu n’attends pas longtemps avant d’entendre la voix rauque du boss te dire d’entrer. t’es attendu. tu les as prévenu que tu allais passer. comme toutes les semaines. signe de tête pour les saluer. les deux frères Argentis assis face à toi. tu t’installes et tu ne perds pas de temps. les dossiers qui défilent devant leurs yeux. pour chaque nouvelle tête, tu leur donnes le profil, les antécédents, le casier judiciaire, le prix de sortie. arguments aiguisés, explications complètes, détails vérifiés. ton compte rendu est complet. tu fais ça depuis plus d’un an maintenant. tu connais leurs attentes, leurs questions, leurs réserves. et à chaque fois tu as une réponse. t’es venu préparer. tu connais ton taf et tu sais que c’est quelque chose qu’ils apprécient. les profils des taulards qui croupissent en prison devant leurs yeux. ceux qui te semblent les plus intéressant à faire sortir pour ensuite les recruter, les faire rejoindre votre rang, vos couleurs et votre ambition. ceux que tu viens défendre devant eux. la décision finale leur appartient, tu le sais. tu fais le boulot fastidieux, tu te renseignes, tu fais des recherches, tu en rencontres certains pour pouvoir associer une photo à une gueule, à une voix, à un caractère. toi tu viens tel un proxénète leur proposer de la nouvelle chair fraiche, non pas pour baiser pendant une nuit mais simplement pour baiser les capulet et les montaigu. threesome inconscient. tactique réfléchie et subtile. un des dossiers qui ressort du lot. les deux frères qui en parlent entre eux. lèvres scellées, t’es spectateur. tu sais que c’est pas ton rôle de venir les interrompre. la notion du temps qui se perd. les dossiers qui s’enchainent, les discussions qui s’enflamment. tu prends note de ceux qu’ils souhaitent que tu recontactent et les profils qui leur paraissent inintéressants finissent dans la broyeuse. puis tu sens que tu dois dégager. rendez-vous fini, nouvelles missions pour toi. un geste de la main vers la porte qui te fait comprendre que t’es clairement congédié. tu récupères ta paperasse puis tu sors de leur bureau. murmures quand tu quittes la pièce. t’arrives pas à distinguer ce qu’ils se disent. frustration. soupire qui s’échappe de tes lèvres. tu relèves la tête et t’aperçois le prince argentis. ici, dans l’armurerie. tu fronces les sourcils. il n’a rien à foutre là. il devrait être derrière son bureau à plus de mille dollars à la mairie. son air supérieur et son costume bien taillé qui contrastent avec le bruit du métal et des machines. tu le vois se glisser dans un bureau un peu plus loin et tu devrais repartir, t’occuper de ton cul et te barrer. ça serait plus judicieux et plus intelligent. t’as rien à lui dire de toute façon. petit prince qui renie son nom de famille. nom que tu rêverais de porter. et tu sais que tu le ferais beaucoup mieux que lui. sauf que t’es pas raisonnable. jamais. tu t’approches de la porte par laquelle il s’est engouffré. tu vois les deux boss argentis descendre les escaliers. ils quittent les lieux. premier étage vide excepté argentis et toi. tu pousses la porte et tu veux le prendre sur le fait accompli. tu ne sais pas trop à quoi tu t’attends. tu veux le griller en train de voler son père, prendre des informations pour l’ennemi. forcément. tu n’as jamais complètement cru à son allégeance, pas depuis qu’il est revenu à Night Vale. tu doutes, tu te méfies de lui. « qu’est ce que tu fous Argentis ? » tu lâches sèchement. tes dossiers que tu viens poser sur le meuble à côté de l’entrée. « tu viens voler ton propre père ? tu cherches quoi ? des informations, des preuves ?tu bosses pour qui ? les capulet, les crimson ?  » tu lui demandes. impossible que tu sois dans le faux. tu veux que ce soit ce moment. le moment où tu peux enfin affirmer haut et fort que t’avais raison de te méfier de lui et qu’il n’est pas dans votre camp. il bosse pour l’ennemi, tu le sais. « dégage argentis, retourne derrière ton bureau à la mairie. retourne jouer au fils parfait pendant que moi j’me bats pour ton clan, ton nom de famille. » tu craches sans aucune pudeur. il ne mérite que ça ce mec. il a besoin qu’on le remette à sa place. qu’il descende de son piédestal, qu’il se rende compte qu’il profite simplement de sa position pour vivre une vie dorée bien loin de la dure réalité de cette putain de ville.    

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Blaze Argentis
silver chapel


Blaze Argentis
☾ avatar : douglas booth
☾ querelles : 49
☾ destiny : 03/02/2018

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bang bang
. ✦ ⊹ Ven 23 Mar - 11:21 ⊹ ✦ .
L'officieux après l'officiel.
Blaze a une heure à tuer entre la fin d'une journée harassante et son bénévolat dans les parties les plus crasses de la ville et c'est dans les arcanes du pouvoir, le vrai cette fois, qu'il décide de la passer. Le prince pénètre glorieusement dans l'usine rutilante, costume parfaitement taillée et visage triomphant. Il avale la distance qui le sépare des ouvriers, prend le temps de les saluer d'une tape affable sur l'épaule, échange quelques bons mots avec les fidèles dont il se souvient des noms, l'aisance d'un politicien en campagne chevillée au corps comme une seconde peau. Il jure dans cet environnement d'acier au tapage viral, assourdissant, et pourtant l'animal social est à l'aise partout, capable en une fraction de minutes de faire tourner le monde ouvrier autour de lui. Certains le traiteront sans doute de manipulateur mais ils auront tort : tout juste les influence-t-il en s'intéressant à eux mais les faits sont là. Blaze s'intéresse à eux. Viscéralement, c'est ce qui rend ses représentations aussi convaincantes, sur les planches ou dans la vie. En-dehors des bêtes assoiffées qui cavalcadent parfois en lui, il a toujours aimé l'humain, capable de rayonner dans les bas-fonds aussi aisément qu'au sein de sa tour d'argent. La faculté d'adaptation, c'est ce qui sépare les victimes de l'évolution de ceux qui se sont hissés au sommet de la chaîne alimentaire et dans cet univers à ciel ouvert qu'est Night Vale ... ils sont peu à s'en souvenir. Un avantage de taille pour les scorpions opportunistes qui donnent l'air de folâtrer dans le sable jusqu'à la piqûre mortelle, aussi vive et intraitable qu'un coup de fouet.
Le fils prodige grimpe souplement les marches, arrogance décontractée et éclatante, pour mieux s'enfermer dans le bureau qui lui est dévolu. L'officieux. Loin de la mairie et de ses dossiers immaculés. Blaze sait parfaitement que la confiance des abeilles n'est que feinte et que la petite espionne à leur solde se faufile parfois dans son bureau, loin des horaires d'ouverture. Elle n'y trouvera rien, jamais, car tout est ici, sous clef, sous cadenas, en confettis dans un destructeur de document ou protégé au creux d'un coffre-fort virtuel : Blaze est prudent, c'est le revers bienheureux de sa méfiance organique, parfois proche de la paranoïa. Confortablement installé, il pianote distraitement sur son ordinateur, cherchant le point d'orgue à la pièce de théâtre qu'il prépare avec les enfants. Une cellule expérimentale de Crimson, de Capulet et des leurs supposée prouver aux observateurs extérieurs et à leurs nombreux ennemis la bienveillance des scorpions. Il entend réunir les antagonistes et effacer, purement et simplement, la haine de l'autre inculquée par leurs familles respectives. Ouvrir leurs petits cerveaux malléables et les remodeler à sa guise. Les scorpions sont connus pour leur discrétion : aux confins du désert, ils prospèrent tandis que la guerre fait rage entre leurs ennemis. C'est bien, mais ce n'est pas suffisant. Pour désarçonner les abeilles et faire ployer les genoux des Crimson, il faut gagner la confiance de ces habitants pris entre deux feux, souvent forcés de revêtir une allégeance pour assurer leur sécurité, sans jamais la chérir tout à fait. Ce sont eux, la majorité silencieuse, qui saura mieux que personne leur assurer un trône qui ne sera pas éjectable et défaire les Capulet. Les opprimés jamais écoutés, qu'on terrorise au lieu de séduire. Blaze, lui, est convaincu de savoir gagner leur amour et le conserver et en dehors d'Adamo et de son père dont il a l'approbation la plus absolue, personne n'est au courant de son petit laboratoire, hommes à la place des souris.
Et la porte s'ouvre brutalement sur Vio Hayes, petite frappe dont la seule qualité connue est celle d'être le frère de Roman. Ce sera sans doute la raison de sa survie, s'il n'apprend pas à ployer le genou devant ses maîtres. Son visage charmant, affable, conserve un sourire de circonstance alors que ses rétines contiennent difficilement la moquerie qui les baigne : tragiquement paranoïaque, le Hayes. Blaze se relève souplement, stature impeccable et costume sur-mesure, pour toiser Vio. Il ne répond rien à ses accusations fantaisistes, glisse une paume avide contre le coupe-papier tranchant et resserre sa poigne sans jamais quitter Vio des yeux alors qu'il lui crache de dégager. Un ricanement s'échappe des lèvres du prince Argentis, qui avale la distance jusqu'à cet employé un peu trop zélé pour le dominer de toute sa hauteur. "Tu vas ravaler tes inepties, t'excuser, sortir de ce bureau et y pénétrer à nouveau avec la déférence que tu nous dois." Blaze s'écarte à nouveau de Vio, prunelles électriques ancrées dans les siennes, et vient s'appuyer contre le bureau, bras croisés et lame au poing. Tout dans son attitude décontractée sonne comme une provocation, seule sa mâchoire serrée et ses rétines étroites témoignent que rien de tout cela n'est une plaisanterie. "Après ça, peut-être que nous pourrons discuter et oublier ce regrettable incident avant qu'il ne parvienne aux oreilles de mon père." La menace vibre, langoureuse, malgré l'onctuosité des paroles du Prince et sa voix grave et magnétique, taillée pour les beaux discours.
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Vio Hayes
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Vio Hayes


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. ✦ ⊹ Mar 1 Mai - 13:13 ⊹ ✦ .
there's a storm on the streets
Blaze & Vio


reconnaissance attendue. sous n’importe quelle forme. un geste, un signe de tête, des mots. mais rien. t’es là en face d’eux à attendre. comme un con. comme un gamin qui a besoin d’être poussé vers le haut par ses parents. le genre qui traine des pieds pour aller à l'école. celui qui n’avance qu’une fois qu’on le rassure et qu’on lui assure qu’il peut y arriver. et finalement, t’es peut-être comme ça toi. surtout envers eux. tu veux plus. plus grand, plus haut, plus important. tu veux toucher à la couronne princière. tu veux pouvoir y accéder. toi, petit merdeux du nord qui se retrouve à bosser pour l’est. besoin désespéré de cette reconnaissance. t’es à la recherche de cette confirmation que tu as fait le bon choix. quitter le nord pour l’est. que tu peux briller ici. aucune ruche, aucune famille royale pour te foutre sur le banc de touche. et tu sais comment ça marche ici. par le mérite. alors tu te défonces au boulot. tu ne le fais pas à moitié. tu t’acharnes. et t’as besoin d’entendre que tu fais du bon taf, que c’est ce qu’ils veulent, ce qu’ils attendent de toi. t’as besoin qu’ils te dressent le début du tapis rouge. celui qui te mènera vers le trône. vers la puissance et le pouvoir. mais c’est le vide complet. les deux boss argentis qui se concertent entre eux. et toi t’es qu’une présence physique à peine perceptible. parfois ils relèvent la tête pour te poser une question mais tu sers juste à ça, pour compléter les informations qu’ils ont sous les yeux à travers les dossiers. t’es bien loin d’être leur équivalent. pas même un collègue. simplement un homme de main. comme tous les autres. t’es au même niveau que le mec qui s’occupe des entrées et sorties de l’armurerie. rien de plus. et ça te bouffe de l’intérieur. trois ans que t’es silver. officiellement en tout cas. un an que tu te tues avec le directeur de la prison pour instaurer un climat de négociation. et plusieurs détenus qui ont déjà fait leur preuve. toujours de bons conseils, tu as été essentiel à leur sortie. aucun remerciement, aucun signe de tête reconnaissant. t’es à Night Vale, Vio. si on devait commencer à envoyer des fleurs au premier acte de bravoure, on donnerait une putain de médaille à tous ceux qui ôtent la vie ennemie. un geste de la main qui te congédie. l’amertume qui glisse sur ta langue. une envie de faire une remarque, de leur montrer que t’es essentiel au business. mais tu te la fermes. sage décision, vio. t’as probablement évité de te faire casser le bras par l’un de leurs hommes qui est quatre fois plus musclés que toi. alors tu sors, frustré, amer et bouffé par la colère. ce sentiment que t’es qu’une fourmi, que t’es bien loin d’être au dessus. t’as juste changé de clan mais pas de place. t’es toujours en bas Vio. félicitations. l’ascension sociale se passera sans toi. et tu agis trop rapidement. tu suis le fils Argentis quand tu le vois. tu viens te glisser dans le bureau sans aucune raison apparente. mais ce mec te sort par les yeux. son petit air princier t’insupporte. et tu sais qu’il cache quelque chose. sa gueule d’ange qui ne te dupera pas. pas toi. tu doutes de lui depuis qu’il est revenu. il est pas clair. il cache trop de choses. et ça te surprendrait pas qu’il bosse pour le clan adverse. suffisamment vicieux et intelligent pour être sur son ordre du jour. alors tu le provoques. sans mâcher tes mots. sans le préserver. en oubliant politesse et courtoisie. tu veux des réponses. tu veux comprendre à quoi il joue le golden boy. mots crachés. poing serré. il te toise. dans toute sa splendeur princière. son costume qui pue le fric. son regard planté dans le tien. sa paume qui manie avec précision le coupe-papier. il ne tremble pas, il ne fébrile pas. il est impassible. sans doute que son humanité git sur le champ de bataille qu’il a laissé pour revenir. ça t’étonnerait même pas. un ricanement qui glisse entre ses lèvres. il se fout de ta gueule ouvertement et t’as qu’une envie c’est de lui foutre ton poing dans sa mâchoire bien trop lisse. et il se rapproche. distance qui vous sépare qui diminue. la colère qui monte en toi à chaque pas qu’il fait. « Tu vas ravaler tes inepties, t’excuser, sortir de ce bureau et y pénétrer à nouveau avec la déférence que tu nous dois. » son ton condescendant, son air snob et son vocabulaire bien trop péteux. tout ce qui te rend fou. de colère et sans doute un soupçon de jalousie. vous ne faites pas partie du même monde. tes yeux qui ne quittent pas son corps. il se déplace avec élégance. cet air supérieur qui ne le quitte jamais. « Après ça, peut-être que nous pourrons discuter et oublier ce regrettable incident avant qu’il ne parvienne aux oreilles de mon père. » menace entendue. tu grinces des dents. ce pouvoir qu’il croit avoir sur toi. ridicule. tu ne t’abaisseras pas à ses exigences. jamais. il n’est qu’un traitre à son sang, tu le sais. alors tu roules des yeux. tu ris doucement. rire qui sonne faux. « Je ne te dois rien. Ni respect, ni politesse et encore moins déférence. » le dernier mot qui roule maladroitement sur ta langue. tu le provoques. lui et ses grands airs. lui et ses mots princiers. « Ton père sait très bien qui je suis et ce que je lui rapporte pendant que toi tu te pavanes allègrement à la mairie et baise sans doute la maire contre son bureau. » tu lui souffles avec beaucoup trop d’assurance. tu te convaincs que tu as du pouvoir. tu veux y croire. « Qu’est-ce que tu fais ici Argentis ? Qu’est-ce que tu cherches ? Pour qui tu bosses putain ? » tu t’énerves de nouveau. tu craches. tes yeux qui brûlent, plantés dans les siens. tu te rapproches de lui et de son cul posé sur le bureau. « T’es qu’un traitre à ton nom. Je dois juste le prouver. C’est qu’une question d’heures. » tu lui balances avant de glisser tes mains dans ses papiers. t’y cherches n’importe quoi. les noms du nord ou du sud. n’importe quelle preuve qui prouvent qu’il trahit chaque jour son père et votre clan.

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