| |  | . ✦ ⊹ Mar 27 Fév - 22:30 ⊹ ✦ . | | John "Johnny" Percival it's something that the pastor don't preach,
it's something that a teacher can't teach.
pseudo ton pseudo ; âge ton âge ; arrival comment as-tu trouvé le forum ? ; comments remarques ou commentaires sur le forum ou toute autre chose que tu voudrais dire ft. jon bernthal banginformations CRIMSON PISTOLS
(FIVE FINGERS) name Percival, d'après le pater. first name John, deuxième du nom, alors on l'appelle Johnny depuis môme. birth certificate Le 13 octobre 1973, dans un mobile home sans vis-à-vis ni eau courante en bordure de désert. age Quarante-quatre ans. sex on fire Hétérosexuel. relationship status Jamais vraiment foutu de s'attacher l'amour fidèle d'une femelle, il n'est pas tant célibataire qu'il est seul. Marié par trois fois, par deux fois divorcé, la dernière Madame Percival a tracé la route il y a deux ans, en lui laissant ses dettes et des papiers qu'il ne signe pas. job Garagiste, désosseur de carcasses automobiles, l'ancienne station-service est si pleine de poussière et de cambouis qu'on ne croit pas longtemps qu'il s'agit de sa source première de revenus. Marqué par le serpent des Montaigu depuis 1994, entaillé plus noir et plus profond encore par les doigts croisés des Five Fingers, c'est un chien de guerre, un voyou, les jointures pleines de sang et de moelle et le mors aux dents. money Précaire. allegeance Membre fondateur des Five Fingers, gang absorbé par les Crimson Pistols dont ils sont les porte-flingues et des sortes de kraken, de leviathan, ou tout autre bouffeur d'imprudents et d'apprentis héros. Pour Johnny, les premiers sont sa famille et les seconds, ses employeurs. light & shadows Loyal, colérique, rancunier, caustique, artificieux, combinard, brutal, pugnace, secret, impulsif, sauvage, bienveillant, tortueux, mordant, abîmé. wildest dreams Johnny rêve d'une vie ordinaire, rangée, où il n'aurait plus peur de crever au prochain battement de coeur ou de voir mourir des gamins. Foncièrement, il sait qu'il est trop vieux pour ces conneries ; pas les emmerdes, pour les rêves. fortress heart À force de fumer, descendre les verres et bouffer des cachets, il attend le jour où il va cracher du sang. Johnny a côtoyé la maladie de trop près pour ne pas la craindre mais il préfère encore n'importe quoi à un retour à la case-prison, pour vingt ans ou vingt semaines. playlist [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] The Doors [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Peggy Lee [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Franz Ferdinand bangjust one yesterday Plus jeune, Johnny n’avait que la peau sur les os et la haine plein les tripes. Il ne s’est jamais tant battu qu’à cette époque, pour un regard dévissé, une fille insipide, le plaisir de se ramasser des phalanges dans la gueule et d’en ressortir vivant. Une bête humaine qu’il a mal domptée, à force d’années, suivant que son meilleur ami, Mark, lui tenait la bride ou qu’une femme l’enchaînait à son ventre. C’est en prison qu’il a décidé de se bâtir un corps à la mesure de sa rage. On ne s’est plus tellement foutu de lui après ça, comme si le monstre avait fini par prendre forme, bouffer la peau et sortir. ★ Il a trois frères et une sœur, même s’ils ont les liens distants, les Percival. Ce n’est pas un clan, même pas une bande, et il ne s’en est pas trouvé un seul pour proposer un tronçon de foie à la marâtre, alcoolique autant que camée jusque sur son lit de mort. ★ L’argent n’a jamais trop aimé Johnny et Johnny ne s’intéresse pas vraiment à l’argent ; la faute aux courriers de relance et aux huissiers qui lui tapotaient le crâne, étant môme. Tout ce qu’il possède, il l’a plus récupéré qu’il ne l’a acheté, comme son mobile home, trait pour trait la boîte de conserve de son enfance, retapé, ou la vieille station-service laissée à l’abandon depuis vingt ans et qu’il squatte pour ses activités de garagiste. Les choses que l’on a, quelqu’un peut les reprendre, alors il a tendances à défendre tous ces petits trucs – le Shack, en premier – comme des territoires. ★Johnny sait mieux se servir d’un flingue qu’il ne sait écrire. À l’école, il était médiocre en tout, même en sport. Abonné des retenues, trop méfiant pour les sports collectifs et trop impulsif pour les disciplines intellectuelles, il a lâché ses études pour empoigner une vie crasse et frustre. À présent, il le regrette, se demande de plus en plus souvent ce qu’aurait été sa vie et pousse les mômes échoués chez les Fingers à s’acharner sur leurs cours et contre les profs à la con qui vous crachent votre médiocrité au visage et vous promettent un avenir de cadavre dans une décharge. ★ Toutes les dépendances ont un jour pris sa carcasse pour foyer. L’alcool, la drogue, le tabac, le sexe, la violence comme de l’automutilation, les jeux d’argent… L’alcool et la drogue, surtout. Il y en a toujours eu, autour de lui, et pas plus loin que sur sa table de chevet. Parfois, il peut encore flairer les effluves de whisky et les émanations du crystal. Faut dire que Night Vale n’aide pas : il y avait un labo dans un mobile home sur deux à la ronde. Alors Johnny a fait comme tout le monde, il a trompé sa misère dans tel ou tel vice, s’est promis d’arrêter, n’a jamais tenu plus de deux jours et, en général, il se félicite lorsqu’il ne cumule que deux addictions en même temps. ★ Johnny a une fille (ce n’est sans doute pas sa seule enfant mais la seule dont il sache l’existence), Sierra, que sa seconde femme n’aura pas voulu qu’il connaisse alors qu’il allait en taule. Un jour, elle débarque chez lui, cigarette entre les lèvres et jupe pas plus haut que ses fesses, pour lui réclamer de l’argent et une place dans sa vie. Comme Johnny n’a pas plus de dollars à cracher que d’amour paternel à prodiguer, la gamine est jetée manu militari dehors, le cul dans le sable. Il n’a pas eu de doute qu’elle était bien sa fille quand elle est revenue frapper à la porte du Shack dans ses habits de putain du Moon Garden. ★ Depuis la mort de Mark (et de son fils cadet), Johnny alimente la béance dans sa poitrine avec tout ce qu’il trouve alors que rien n’y fait. Sûr qu’on l’a amputé de la meilleure partie de lui-même, il parlemente avec sa colère pour survivre et s’améliorer. Aucun des deux autres fondateurs des Five Fingers ne peut vraiment pallier ce manque, imiter cette entente intuitive. Depuis 2009, Johnny veille d’autant plus étroitement (jalousement) sur le jeune Harvey, le fils aîné de Mark, qu’il est tout ce qui lui reste de son frère d’élection. ★ Issu des recoins où le désert règne et sème les mômes comme des grains de sable, le clébard du South franchit rarement la limite nord du Night Vale. Il n’aime pas quand le bitume devient régulier, les façades rincées et les voitures aux calandres rutilantes. Chaque fois qu’il jouxte la frontière, un malaise le prend dans les tripes, comme si on allait surprendre l’imposture, l’attraper aux épaules et le jeter dans un van pour le ramener parmi les siens, dans la fange. Au sujet du North, Johnny pratique une politique de tranchées ; ils ont les leurs et lui les siennes, et tant qu’aucun n’empiète sur l’autre, tout le monde est tranquille. ★ Sa première femme, Johnny la bousculait de trop pour qu’elle l’aime longtemps, à le faire un clone pas dégueulasse du géniteur et rien d’autre. La seconde, c’était différent ; il était amoureux, au moins par moment ; c’était quelqu’un de bien, une fille gentille et instruite ; la déception a été proportionnelle, bien sûr, d’autant qu’elle a pris le déclin de Johnny pour un échec personnel à le sauver. Après la prison, il a été incapable de s’attacher à une femelle au-delà du cinquième coup de reins alors, pour le troisième essai, il a pris son temps et le spécimen le plus indépendant qu’il a trouvé. Pendant quelques années, on a trouvé leur mariage opérant et même assez remarquable. On n’a pas trop compris qu’elle soit partie, avant de se souvenir et d’hausser les épaules en disant Bah, c’est Johnny Percival. ★ Quand les Fingers rachètent le « Shack aux aiguillettes », il est en cabane. Malgré le soutien de ses camarades et la prospérité du gang, Johnny vit mal que le monde ait tourné, dix ans durant, sans lui. Bouffé par des troubles obsessionnels compulsifs le temps de sa réacclimatation, c’est une longue période de petits aménagements, de réparations inutiles, pour laisser son empreinte, dépenser son énergie et reprendre ses marques dans sa meute. ★
Dernière édition par Johnny Percival le Jeu 1 Mar - 19:57, édité 8 fois |
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fucked up. La première année, il ne venait pas. Jamais. Un pas dans le gravier, ç’aurait rendu l’hallucination surannée et la réalité prégnante. Toute l’histoire, tout son drame, aurait été vraie, avec ses résonances et ses odeurs, sa douleur implacable, sa solitude suffocante. Johnny n’était pas prêt à vivre dans un monde sans Mark Morgan. Alors, la première année, il n’est pas venu agacer la pierre tombale de ses yeux de chien battu et de son silence stupéfait, ahuri. Le jour de l’enterrement avait été pénible en soi, pénible pour cent ans. Ça descend. Ça n'arrête pas de descendre. Putain, pourquoi ça n'arrête pas ? Et lui est là, il reste là, la gueule en larmes et le bide en vrac. Il ne sent rien, depuis les genoux jusqu'à la gorge. Mais, au bord de ses lèvres, ça se précipite. Il imagine qu'il va crever, que son corps tout entier va se disloquer. Forcément, ça fait trop mal. Et puis ses os craquent, ou alors c'est son cœur qui frotte contre ses côtes. C'est abominable, cette douleur, qu'il ne veut pas vomir, qu'il ne peut pas crier. C'est juste lové dans ses entrailles, et ça prend ses quartiers ; ça fait peu de cas de ses émotions, de ses volontés. C'est juste insupportable. Inhumain. Et étrange. Ça fait moins mal par endroit. Là où c'est révoltant. Où c'est injuste. Où c'est barbare. La vengeance lui cisaille les chairs, et la peau, et le sang. Il croit que ça dégouline sur ses bras, dans sa gorge, sous ses cheveux. Mais non. C'est la sueur. Les pleurs. Et les plaintes que ses oreilles n'entendent qu'à peine. Et qu'est-ce qu'ils ont, eux tous, à chialer, là, autour ? Ils ne savent pas. Rien du tout. Que dalle. Qu'ils crèvent ou qu'ils dégagent. C'est sa douleur, la sienne. Elle n'appartient qu'à lui. Elle n'est qu'à lui. Alors il voudrait se saisir de quelque chose – n'importe quoi, pour frapper, éventrer, éclater, tous ces êtres qui chouinent, se lamentent. Enfoirés de voleurs de douleur. Mark était son frère – l'égoïsme l'étrangle. Ça l'asphyxie mais il respire tout de même.
Il respire parce qu'il ne peut pas l'empêcher.
« Ce n’est pas ta faute, souffle sa femme, debout, à son côté. » Elle pose, sur son épaule robuste, une main bercée de précautions. Il sent l'étreinte et se raidit. Car lui, lui voudrait la frapper, cogner, si fort que la nausée l'agite. Il pense vaciller, tomber, et s'éteindre sur ce sol qui emporte son ami, le meilleur de ses amis. « Rien de ce que je pourrai dire ne... » « Non. » Elle se tait. Aussitôt. Et il lève les yeux vers elle. Il se trouve le courage de le faire. « Non, serine-t-il. Rien du tout. » Il la scrute, et la dévisage. Il la défie. De prononcer encore un mot. Même un seul. Rien de ce qu'elle pourrait dire ne saurait effacer ces années. La solidarité. La synergie. L’horreur, parfois. La peau diaphane, le visage défait, le corps troué de balles. Tout trahit chez Johnny un gamin qui a mal. C'est pour ça que son épouse est là. « On se verra à la maison, ce soir... D'accord ? demande-t-elle lentement. » S'il acquiesce, il ne s'en rend pas compte. Mais elle part. Elle le quitte. Et ce départ-là ne fait rien. Ça ne provoque rien du tout, pas même un frémissement. C'est qu'il ne sent rien. Il ne peut pas. Ça pourrait exploser, à côté, et l'éviscérer pour moitié, la douleur n'atteindrait jamais ce corps-là. Il est mort, en-dedans. Il est mort, en dehors. Et non. Non, il ne rentrera pas. Où c’est, chez-lui, quand Mark Morgan n’y est pas ? Johnny s’assoit par terre. La sépulture lui jette du froid dans les veines. La nuit est tiède, pourtant. Il résiste au besoin d’empoigner sa lâcheté et de s’enfuir. La deuxième année, il quittait rarement sa voiture, garée sur le parking extérieur. Le seul aperçu des stèles alignées lui filait la gerbe. Quand, parfois, il se trouvait le courage d’arpenter les allées, il s’occupait à soustraire dates de décès et de naissance pour plaindre de parfaits inconnus. À la longue, ça lui a paru ridicule. Puéril. Johnny s’est mis à remuer l’herbe et les cailloux sous le nom de Mark Morgan, comme on n’ose pas tout à fait regarder Dieu dans les yeux. Dieu ou les phares d’un train au bout du tunnel. « Où tu files comme ça, Johnny ? » Il pose à peine une semelle hors du Shack que la paume de Jervis lui tombe sur l’épaule. C’est un homme efflanqué aux allures de garçon, l’oeil humide et l’échine saillante – assez le portrait de Percival à son âge. Celui-là a de l’affection pour Jervis mais il n’est pas pressé de répondre, alors un autre Finger, plus vieux et le sourire torve, intervient en crachant sa fumée : « Il part enfiler des routiers. Pas vrai ? » En piétinant le pas de la porte, Johnny arrange un de ces rictus dont il a le secret, mi sarcastique mi menaçant. L’autre ne paraît pas impressionné ; ils se connaissent assez ; ils en viendraient aux mains qu’on ne sait pas qui finirait debout et qui le nez en sang. « Tu devrais rester encore un peu, il enchaîne en se frottant la braguette. Y’a ta gosse qui monte bientôt sur le zinc. » Le coup de surin devrait l’entamer, taillader dans la fierté paternelle. Mais rien. Sa boussole morale est fracassée depuis un moment. Il a la tête ailleurs. Cette gamine est une femelle comme une autre. « Te gêne pas pour moi. » La pogne est lourde quand elle fait semblant d’être amicale. Le Finger tressaille en grognant, parce qu’il est sûr qu’on a frappé à dessein dans le flanc qui porte une vieille balle perdue alors qu’il se défilait. « Salut, compadre. » Johnny ne dit jamais aux autres Fingers où il va ; parce que ça fait pédale ou quelque chose comme ça ; il aime autant qu’on croit qu’il tapine sur les aires autoroutes. De plus en plus, il s’en fout. « J’ai pas de bonnes nouvelles. Je sais pas quoi faire. » Cigarette à la bouche, il mâchonne le filtre comme si Mark lorgnait après l’état insalubre de ses poumons, comptait les secondes avant les retrouvailles. Malgré sa mauvaise conscience, Johnny donnerait n’importe quoi pour un sermon, une de ces tournures où son meilleur ami excellait, quand même il ricanait, quand même il s’obstinait. D’une manière ou d’une autre, Mark savait toujours ce qu’il fallait faire, ce qu'ils devaient faire. « Axiane va encore tout foutre en l’air. » - rédigé mais pas gardé :
Mars 1973. Tamsin Merigold roule son spring break avec sa meilleure amie, Chloe. Un soir qu’elles sont en rade, elles rangent la Dodger sur le sable d’une vieille station-service. C’est là qu’elles rencontrent John Percival, un blouson noir et môme du désert, qui va leur remplir le réservoir et leur montrer Night Vale. Au bout d’une semaine à écumer les bars et les bas-ventres, Chloe repart mais pas Tamsin. Elle ne repart jamais. Elle est folle amoureuse de la gueule crasseuse de Percival, ses égratignures sur les mains, ses coups de reins d’animal. De là, le cycle infernal : elle tombe enceinte et lui n’en veut pas, ni d’elle ni du mioche. Sa passion pour le mauvais type, Tamsin va salement la payer. Elle l’aime quand il la quitte. Elle l’aime quand il la reprend. Quand il dit qu’il va l’épouser. Surtout quand il le dit après qu’il l’a cognée. Plusieurs coups de fil vont la supplier de rentrer. De moins en moins. Avant qu’elle ait bien réalisé le monstre ordinaire qui lui force les entrailles, elle a quatre enfants, de la meth plein le nez et ses espoirs dans la fosse commune de la ville.
Juillet 1987. « Tu vas la prendre ta raclée, Johnny Boy. » L’haleine de son père pue la mauvaise vie lorsqu’il l’attrape par le col. Souvent, l’adolescent oublie le poids des jointures, la lourdeur des coups, quand c’est sa mère qui prend et lui qui regarde, ou lui qui bande les yeux de ses cadets avec la paume (comme si le son valait mieux que l’image). Puis, de temps en temps, c’est son tour – parce qu’il était le premier de tous les fléaux à venir. Dans ces moments-là, Johnny est aussi faible que cette chienne, minable et recroquevillé, parce qu’il est plus grand que la moyenne mais maigre comme un couteau de poche. Il se casse en deux, pognes contre les côtes et l’estomac, dès le premier impact. « C’est si dur qu’ça de fermer ta grande gueule et d’t’tenir à carreaux à l’école, hein ? » John Percival interroge comme un officier de la SS : il se fout de la réponse pourvu qu’il déverse sa violence ; sa frustration ; une existence misérable enchaîné à cinq moutards et une épouse belle comme seul le cristal peut vous la retaper. À la longue, Johnny a cessé de répondre, ou plutôt de glapir. Il serre fort les mâchoires jusqu’à ce que les coups arrêtent de pleuvoir – quand l’enfoiré s’est bousillé les mains. Il faut savoir que le pater n’aime pas qu’on regarde ses paluches abîmées de trop près, alors, un peu par hasard, il s’économise. « Sors ton cul de mon mobile home, bâtard ! » L'homme relève le môme pour mieux le jeter contre la porte. « Dégage ! » Les phalanges de Johnny tremblent autour de la poignée, de fureur et de crainte. Il s’échappe plein nord à travers sable.
1994. Au moins, ils auront été une famille. Pendant que les bracelets de la police lui entaillent les poignets chaque fois qu’il tire sur sa chaise, Johnny se console en se disant qu’ils auront été une famille. Elles sont toutes dysfonctionnelles, boiteuse, et elles comptent toutes un traître, mais, du diner répugnant où il a dilapidé ses weekends au tatouage des Fingers frotté avec la paume, il aura été heureux durant quelques années.
Dernière édition par Johnny Percival le Jeu 1 Mar - 19:43, édité 4 fois |
| | | | | . ✦ ⊹ Mar 27 Fév - 22:33 ⊹ ✦ . | | Bienvenue, chouette choix de scénario et d'avatar  |
| | | | | . ✦ ⊹ Mar 27 Fév - 22:43 ⊹ ✦ . | | |
| | | | | . ✦ ⊹ Mar 27 Fév - 22:43 ⊹ ✦ . | | Bienvenue toi  |
| | | | | . ✦ ⊹ Mer 28 Fév - 0:51 ⊹ ✦ . | | |
| | | | | . ✦ ⊹ Mer 28 Fév - 2:43 ⊹ ✦ . | | Bienvenue sur SATN  |
| | | | | . ✦ ⊹ Mer 28 Fév - 11:45 ⊹ ✦ . | | Bienvenue avec ce très bon choix de pré lien  |
| | | | | . ✦ ⊹ Mer 28 Fév - 11:56 ⊹ ✦ . | | Merci à tous de l'accueil.  En espérant coller à l'ambiance.  |
| | | | | . ✦ ⊹ Mer 28 Fév - 11:58 ⊹ ✦ . | | |
| | | | | . ✦ ⊹ Mer 28 Fév - 14:02 ⊹ ✦ . | | bienvenue sur le forum   |
| | | | | . ✦ ⊹ Jeu 1 Mar - 10:39 ⊹ ✦ . | | bienvenue sur satn |
| | | | | . ✦ ⊹ Jeu 1 Mar - 11:28 ⊹ ✦ . | | Bienvenue |
| | | | | . ✦ ⊹ Jeu 1 Mar - 11:43 ⊹ ✦ . | | jvais surveiller ma maman  Bienvenue très bon choix de tout |
| | | | | . ✦ ⊹ Jeu 1 Mar - 15:17 ⊹ ✦ . | | Merci beaucoup.  Point d'inquiétude, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], j'te ferai pas de petit frère. |
| | | | | . ✦ ⊹ Jeu 1 Mar - 20:16 ⊹ ✦ . | | Cette plume renversante. Ce je-ne-sais-quoi qui rend Johnny encore plus bg et badass que dans mon imagination. Ces petits détails auxquels tu as pensé et qui l’embellisse encore plus... je suis charmée et mon âme est liesse que ce soir sur mon scénario que tu aies jeté ton dévolu.  (Je te l'ai déjà mentionné sur Skype, mais je suis séduite par le ton que tu as donné au personnage  ). Tu as parfaitement su capter l'essence du personnage et le faciès du personnage lui colle encore mieux!  Je plussoie tous mes vdd, tu envoie du lourd, Johnny Boy.   Ça donne presque envie de retourner dans le Southside  (seulement si je savais que je ne me prendrais pas du plomb dans les fesses  ). Bienvenue, officiellement, sur SATN.  Plein de love sur ta gueule, des culottes et du chocolat pour t'accueillir.  (Des culottes de qui, je te dis pas, à toi de choisir ). Je suis déjà impatiente de voir ce que l'univers et le jeu nous réserve à tous les deux  (parce que, ouf course, je t'ai gardé une place au chaud dans mes rps ). [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], tu peux respirer, je ne te pondrai plus de grand-frère-lonesome-baby dans l'avenir.  (Toute façon, je t'ai assez traumatisée comme ça  Je voudrais pas faire de toi un mésadapté social comme ses voyous de Montaigu).
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| | | | | . ✦ ⊹ Jeu 1 Mar - 22:57 ⊹ ✦ . | | a desert odyssey welcome to night vale ta fiche j'ai pas grand chose à dire de plus que miss axiane  cette fiche est juste oufissime, ce personnage envoie du lourd. le pré lien était grave cool, mais ce que tu en as fait ça dépasse toutes nos espérances je crois tu écris très bien, sans faute, tu as su t'approprier le contexte enfin bref, je suis fan et je viendrai choper un lien te voilà validé congrats félicitations , tu fais désormais partie des hurlements du désert, les crimson pistols. Pétroleuses rouillées, des rêves pour seul horizon, il n'appartient qu'à toi de conquérir le monde. A commencer par night vale. lost & found Le destin t'a placé sous les ailes de raven et le groupe des cactus tout doux. registration c'est ici que vient la partie un peu administrative de ton arrivée à night vale. N'oublie pas de passer par la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour enregistrer ton activité état civil afin qu'on ne te vole pas ton identité, à la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour enregistrer ton activité commerciale, officielle ou officieuse, ainsi que votre [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]profil il est venu le temps de remplir ton profil. Ce faisant, tu aideras les autres joueurs à mieux cerner ton personnage this ship Maintenant que tu es en règles avec les autorités, il est temps de te socialiser Pour cela, n'hésite pas à ouvrir une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ainsi qu'une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. high tech A Night Vale, même si le réseau ne passe pas très bien, les habitants peuvent se doter d'un [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et d'un compte [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], alors pourquoi pas toi ? story Night Vale, c'est avant tout une histoire. Pour être au courant de tout ce qui se passe dans cette petite ville du Nevada, n'hésite pas à squatter [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. questions si tu n'as pas tout suivi ou que des questions perdurent dans ta demeure, n'hésite pas à venir invoquer l'esprit du désert en passant par [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. rising sun des parties secrètes ont été créées pour chaque groupe pour trouver la tienne et flooder avec ton gang, c'est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. the end Amuse-toi bien sur SATN et encore bienvenue à toi |
| | | | | . ✦ ⊹ Jeu 1 Mar - 23:21 ⊹ ✦ . | | Déjà, merci à la patronne, sa sainteté [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (même si on a déjà échangé les politesses). Et merci beaucoup pour les compliments (et la validation rapide), Abel. Je prends tout à fait un lien, et je pars me recenser partout. |
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