GABRIEL ☾ stars requiem

Gabriel Anthem

god hears everything

pseudo lysa c'est bien comme ça ; âge 18 ans et quelques ; arrival il était dans mes favoris depuis quelques temps... j'ai dû le trouver en voguant un peu au hasard de top sites en partenaires ; comments qu'est ce qu'il est beau :cute:

ft. alfie allen

bang

informations

CRIMSON PISTOLS

name anthem. ça veut pas dire grand chose, ça sonne pas connu dans les oreilles de quiconques ; mais t'es bien décidé à graver toi-même dans la pierre ton nom pour qu'on s'en souvienne
first name gabriel. tu détestes les alternatives ridicules, gaby et autres raccourcis futiles ; s'énerve bien trop vite pour une histoire de surnoms
birth certificate né un douze février dans cette même ville que t'as jamais quitté, night vale comme berceau de tout les maux
age fraîchement trente ans, c'était pas un cap si difficile à franchir, tu vois la force de l'âge comme un gage de respect ; ça te gêne pas de vieillir
sex on fire officiellement hétéro, tu te glisses dans les draps d'hommes à l'occasion ; t'aimes beaucoup trop la chair pour te réduire à un seul sexe. t'en parle pas trop, t'oses pas chercher proies masculines ; tu te laisses juste tenter à l'occasion
relationship status engagé à rien d'autre que les crimson, tu partages ta vie avec ton écran et tes cigarettes
job informaticien acharné, capable de tout un clavier entre les doigts. t'as élargit le trafic de drogues, d'armes et de corps grâce à tes quelques lignes de code bien placées ; surveilles ce qu'il se passe dans le moindre téléphone voisin. ton acharnement t'as transformé en bras droit solide, les Montaigu conscient que tu laisserais ta peau avant les contenus de tes fichiers. tu files un coup de main au pawn shop aussi, histoire de renflouer tes comptes et de siéger ailleurs que derrière ton ordinateur
money classe moyenne, ce qui est déjà beaucoup pour un gars du sud ; tu pourrais être bien plus stable financièrement si tu ne dépensais pas tout ce que tu touches dans les jeux d'argent et dans les clopes
allégeance cœur et corps voué aux crimson pistols, échelons gravis depuis peu ; encore plus fou de poudre et de vengeance que tu ne l'étais avant

light & shadows gosse dévoué, ambitieux, malin ; coule dans tes veines un feu ardent comme celui d'un volcan. tu te présentes assez calme, t'es posé et sûr de toi ; mais tu pars au quart de tour que ça soit légitime ou non. faut tomber sur tes bons jours, t'en restes amusant, blagueur voir charmeur ; mais t'es borné, beaucoup trop obstiné et ça causera ta perte.
in the desert dusk tu traînes le vieux briquet de ton grand-père partout avec toi, c'est à se demander comment la molette arrive toujours à te sortir une flamme ☾ t'as le bras droit tatoué, uniquement d'encre noir ; ça se bouscule entre les symboles célestes, religieux, les fleurs et les allusions à la mort ☾ t'as aucune cicatrice, une peau parfaite et douce à faire pâlir les jeunes filles que tu croises, mais t'agis plus souvent derrière un écran qu'un viseur ☾ tu ne te déplaces qu'en moto, ta harley brille au soleil mais crache derrière elle les kilomètres accumulés ☾ t'es beaucoup trop armé pour un informaticien pas censé faire du terrain, certains de tes bijoux n'ont même jamais servi
wildest dreams t'es un homme ambitieux, de ceux jamais satisfaits ; qui oublient les marches qu'ils viennent de monter, déjà prêt à en entamer d'autres. alors tu rêves de grandes choses, de quoi ; tu sais pas vraiment, mais le summum et l'extase serait la vengeance. t'es pas des crimson pour rien.
fortress heart t'assumes pas ton goût pour la masculinité, t'as peur que ça influe sur ton pouvoir, que le respect qu'on t'accorde soit altéré. t'as terriblement peur du feu, aussi, ça craint pour un crimson pistols ; mais tu gardes ça loin des yeux de quiconque, tu te protèges derrière tes pages html
playlist x ambassadors, giants ☾ arctic monkeys, do i wanna know ☾ imagine dragons, warriors

bang

just one yesterday

Hotel California résonne dans la pièce sombre, où seuls quelques points de lumière osent venir briser le faible faisceau que t'accorde la lune ce soir-là. C'est une ambiance particulière, les musiques gaies s'enchainent pendant que la pluie fait rage au dehors et que les cigarettes se consument une à une. Il fait toujours lourd et pensant dans ton bureau, comme si certaines âmes ayant mordu à l'hameçon de quelques lignes de code rodaient encore, prisonnières d'une des machines entreposées au fond de la pièce.

C'est un poste bien dangereux que d'avoir comme collègue des écrans. Les actions menées semblent irréelle, un grand jeu vidéo où rien ne semble avoir d'échos dans la vraie vie. Quelques photos, un prix que tu n'as même pas à fixer toi-même - quelques précautions de sécurité et de discrétion, et ta part du mesquin marché est déjà remplie. La fumée ressort mécaniquement de ta bouche, satisfait. On ne s'attaque pas vraiment à vous informatiquement, tu as une longueur d'avance technologiquement parlant sur quiconque tu veux te renseigner ; peut-être parce qu'on ne t'a pas vraiment encore remarqué pour le moment. Tout va vite, sur internet ; mais tout est moins matériel, et tu es le premier à perdre pieds parfois. Tu n'en restes pas moins sur tes gardes, et tes doigts effleurent la crosse posée à tes côtés. Le terrain te manque un peu, parfois, mais tu sais que tu es un peu trop révolté pour la guerre qui se joue au dehors en ce moment.

A la place, tu te contentes d'ouvrir un fichier codé par plusieurs mot de passe, qui mets étrangement longtemps à s'ouvrir pour la qualité de tes installations. Il finit tout de même par révéler son contenu, et tu te replonges en tapant du pieds dans le dossier pleins à craquer de photos et de coordonnées diverses.

les dix commandements

god is watching you

tu adoreras Dieu seul et tu l'aimeras plus que tout

Tes jambes te grattent. Ce pantalon est ignoble ; tu détestes le velours et ta mère s'obstine à t'en racheter, même lorsque tu les abîmes sans faire exprès. L'attente commence à se faire longue, et ta mère commence à te faire la leçon alors qu'une voix s'élève enfin dans l'église. Ta famille s'assoit, alors tu fais de même. C'est un dimanche comme les autres chez les Anthem, une messe de plus pour souffler de bonnes habitudes à la dernière génération.

tu ne prononceras le nom de Dieu qu'avec respect

« Putain de Dieu... » Ta grand-mère n'est pas à tes côtés, et pourtant tu as l'impression de sentir le coup qu'elle te donne dans les côtes. Tu jettes même un regard vers la droite ; juste pour être sûr que personne ne vient de te réprimander. Mais il n'y a personne, à part ton père et toi dans le hangar désaffecté. « C'est toutes des vraies ? » Il souffle du nez. « Oh que oui, gamin. Ça sert pas à grand chose, les armes factices ; ça fait plus peur à personne depuis longtemps. » Tu le fixes un instant. Le gamin que tu es a bien du mal à croire ce qu'il voit, son paternel si protecteur et si doux maniant des pistolets brillants un air léger sur le visage. Il t'en tends une, que tu mets quelques secondes à attraper. C'est un flingue, un vrai. « N'aies pas peur. Elle n'est pas chargée. » Tu relèves les yeux, l'air grave. Le gosse en prends un coup ; surtout avec une arme dans les mains. « Pourquoi t'as tout ça ? » Il soupire. Il n'est pas sûr que tu sois prêt à entendre tout ça, mais qu'il se rassure ; tu ne l'aurais jamais été.
Il te reprends le jouet des mains et le frotte alors qu'il semble chercher ses mots. T'étais pas bien futé, à l'époque - mais assez pour voir la haine danser comme des flammes dans ses grands yeux. « Y'a des combats qu'on peut pas gagner sans violence. C'est comme ça. On aime tous un peu se battre, hein ? » Tu ne peux pas t'empêcher de hausser les épaules. T'as l'impression qu'il en profite pour t'engueuler - tu réfléchis si tu n'aurais pas oublié de le tenir au courant d'une bagarre, mais il ne te semble pas, et puisqu'il se met à sourire, tu te chasses cette idée de la tête. « Se bagarrer dans une cours d'école, c'est pas bien grave. Mais c'est pas pour autant qu'il faut le faire, hein ? Gab', oublies ça. Qu'importe. Ce qui est grave, c'est quand les bagarres ne finissent pas, et qu'on fait certaines choses que même les excuses ne réparent pas. » Tu fronces les sourcils. Il te parle comme à un gamin, et tu n'aimes pas quand il fait ça. T'es presque un homme. « Ton grand-père est mort à cause d'une de ces bagarres de merde. » Il change subitement de ton, et ça te fait reculer un peu. Peut-être que tu aurais préféré qu'il continue de te parler comme à un gosse, tout compte fait. « Les gens du Nord l'ont tué sans raison. Lui et quelques autres. Il frotte avec acharnement le pistolet, s'attardant sur le C et le P gravés sur la crosse. Alors c'est juste au cas où on ai besoin de finir cette bagarre, tu vois ? Juste au cas où. » Tu secoues la tête. Tu fais mine de comprendre ; mais tu comprends rien. « Moi aussi je veux finir cette bagarre. Si Papi est mort à cause d'eux, il faut qu'ils aillent en prison ! » Ton père rit doucement. « C'est pas si simple que ça, Gabriel. Il te caresse le crâne. Mais le moment viendra où tu pourras choisir de nous aider à arrêter cette bagarre. Et tu choisiras, Gaby. »

Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche :love:

Wouah, y'a de la belle gueule par ici (j'aime tellement cette bouille!)
Bienvenue sur SATN leather jacket.
J'aime déjà énormément beaucoup ce que je viens de lire et je suis impatiente de lire la suite de ce personnage ô combien prometteur.
Bon courage pour la suite de la rédaction.