chaos is a friend of mine (lip)

Ça ne s’efface pas, ça ne s’enlève pas,  ça ne disparais pas.
Cette sensation, horrible frisson qui te parcourt. Elle ne s’efface pas. Tu as beau courir, tu as beau t’enfuir elle finira toujours par te rattraper. Elle est toujours présente, elle se lit sur ton visage, sur tes traits, elle te court après et courriras toujours plus vite que toi. Cette empreinte indélébile, laissé par ceux que tu n’as pas choisis, ce fardeau trop lourd sur tes épaules trop faible. Ce nom qui est grisé sur tes papiers, cette identité que tu n’as pas choisis. Elle te devancera toujours, car elle fait partit de toi. car elle a été présente bien avant que tu vienne au monde.
Ce nom.
Que tu n’as pas choisi, pourtant tu leur appartiens, pourtant tu es l’un des leurs. Pourtant tu es un Zoldyk.
Famille de tirant, de voleur, de brigand. Voilà qui tu es, voilà ce que tu essaie de cacher. Les yeux noir, les cheveux tout aussi noir, la peau doré, les cernes, les tâches, le sang encore frais qui recouvre vos vêtements, voilà qui vous êtes. Des vampires de la société. Vous prenez plaisir à enfoncer l’humanité qui n’est pas déjà un cadeau, vous êtes des pileurs de tombe, des chacals, des vautours, ceux qui te feront tomber pour mieux te voler. Vous êtes ceux là.
Connue dans tout le continent et surtout dans cette ville débile, connue pour être infâme et affreux. Titre écrit noir sur blanc, écrit au marqueur sur ton visage, au feutre noir sur tes cernes. Ce sont des mauvaises personnes, ceux dont on a peur dans les films, ce sont eux, les Zoldyk.
Leur marche jusqu’en enfer remonte à des années de cela, ton grand père a été le premier a commencer à marcher. Il suivait la vague, le mouvement de terreur, on lui a appris à tué et a volé pour le bien de sa famille. Avec le temps, c’est devenue une activité familiale, afin d’être les seuls sauver dans ce désert de tristesse, tes parents, grand parents et frère et sœur ont appris à volé afin d’avoir toute les richesses. Des banques, des personnes célèbres, ils les ont tous fait. Ils sont aussi tueur à gage, ceux que tu veux faire disparaître ils le feront pour toi. ceux qui gêne ou ceux qui en savaient un peu trop, ils pourrons les faires partir en échange d’argent ou d’autre richesse.
De père en fils, de génération à génération, toute cette mascarade et cet amour pour l’argent est héréditaire.  Elle coule le long de vos veines, elle s’évapore dans vos pores, elle devient le sujet de discussion et le businesse familiale.
C’est ta déstiné.
Mais qui sont-il pour choisir qui tu doit être ?
Tu n’en a aucune idée, alors tu suit bêtement ce qu’on te dit. On t’as appris à tuer. Avec un couteau, un fusil, un arc, avec tes mains. On t’as appris la torture, les coup de pression, les poisons. On t’as appris l’enfer sans même te demander si tu voulait y aller. On t’as appris à être celui que tu doit être sans jamais ce soucier de qui te veux être.
Alors tu as dit stop, tu as dit non, tu as tourner le dos à ceux qui prétende t’aimer et tu leur à dit que cette vie n’était pas faite pour toi. ton père a voulu te tué ; empêcher par ta mère et bloquer par ta sœur, des regards plein de regret et de peur. Des encouragements qui ne vienne surement pas du cœur, mais une envie que tu te trompe, tombe, et revienne à la maison. Elle t’as laisser partir, celle qui t’as donner la vie. Un sourire sur ses lèvres et sa peau un peu trop pâle, elle t’as donner de quoi vivre et t’as ordonner de ne revenir que si les choses avaient changer. tu ne sais pas si elles changeront. Tu ne sais pas ce que tu veux faire.
Tu ne sais pas qui tu veux être.
Mais le monstre qu’ils ont crée, ça ne peut pas être toi.
Celui qui ne cille pas quand il abat une proie, celui qui peut tenir deux jours sans boire ni manger, celui qui ne sais pas comment d’écrire un battement de cœur ou d’écrire ce qu’il récent vraiment.
Tu ne veux pas devenir ce monstre, celui qu’ils ont crée.
Tu n’as pas lui.
Tu es toi.
Mais qui es-tu ?
Cette nouvelle vie pour le découvrir, cette nouvelle ville pour le savoir.