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☾ pseudo : za ☾ avatar : david prat ☾ querelles : 422 ☾ destiny : 27/01/2018 ☾ territories : le sud, désert qui ne fait pousser que roses noires, repaire des serpents. à ruminer dans sa chambre d'enfant dans la demeure des montaigu, jamais rentré pour la nuit.
| . ✦ ⊹ Mar 30 Jan - 15:21 ⊹ ✦ . | | |
| | | | . ✦ ⊹ Mar 30 Jan - 20:22 ⊹ ✦ . | | t'as roulé jusqu'au Sud, territoire ennemis que tu aimes fouler de temps en temps. t'as roulé jusqu'au Sud pour faire une petite virée chez Cassandre, une visite surprise, de quoi te remettre en selle. pour lui vendre quelques produits dont elle raffole, livré en personne pour être payé en nature. comme elles savent si bien le faire. t'as abandonné ta caisse pour terminer à pieds, histoire de ne pas être des plus voyants. mais tu sais qu'ici tes cheveux blonds et ton allure ne passeront pas inaperçus. tu les as vu les chuchotements sous ton passage, mais tu n'y a pas prêté d’intérêts. tu n'en as que faire, si tu dois mourir aujourd'hui c'est que c'était ton destin. et ton destin tu le connais d'avance, tu seras sur le trône d'ici quelques années. le soleil se couche lentement à l'horizon, et tu foules le sol d'un parc quand l'on vient perforé ta bulle. t'es pas un peu loin de chez toi. c'est dans ton dos que l'on s'exclame, et tu te retournes rapidement, juste assez pour éviter le coup de poing qui t'était destiné. un rire t'échappe lorsque tu te décales, tes yeux bleus se posent sur l'assaillant. homme brun, yeux noirs, cheveux en bataille et dégaine qui laisse à désirer. un putain de Montaigu ! t'exclames-tu alors que tu penches la tête comme si tu observais un spécimen rare. je suis chez moi, partout ici, mais merci de t'en soucier. lances-tu moqueur, mais sincère. parce que Silas Capulet à sa place dans tout nightvale et personne ne saurait te faire croire le contraire. tu restes néanmoins sur tes gardes, sous ta chemise blanche dans ton dos, se dessine le contour de ton arme. tu ne sors jamais sans. mais tu ne t'en empares pas, tu restes observateur. tournant autour de l'homme tel un rapace prêt à bondir. qu'est-ce que tu me veux ? j'ai sauté ta soeur et elle est venu pleurer ? que tu craches sourire aux lèvres. tu ne le connais pas, ou peut-être que si, mais tu ne t'en rappelles pas. alors tu cherches, tu titilles, et tu sais qu'il y aura réaction. mais serait-il assez idiot pour s'attaquer à toi ? sait-il seulement à qui il a faire ? ou veut-il seulement tabasser du Capulet pour se croire important ? tu le sauras bientôt, t'en es certain, et tu n'attaqueras pas le premier, voilà une autre certitude. |
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☾ pseudo : za ☾ avatar : david prat ☾ querelles : 422 ☾ destiny : 27/01/2018 ☾ territories : le sud, désert qui ne fait pousser que roses noires, repaire des serpents. à ruminer dans sa chambre d'enfant dans la demeure des montaigu, jamais rentré pour la nuit.
| . ✦ ⊹ Mar 30 Jan - 22:22 ⊹ ✦ . | | |
| | | | . ✦ ⊹ Mar 30 Jan - 22:49 ⊹ ✦ . | | il est fier le Montaigu. il est fier et te le montre en hurlant des paroles que ne prends pas la peine d'écouter. tu n'en as que faire. tu ne les as jamais supporté cette bande de chien enragé, c'est tout ce qu'ils te rappellent. juste bon à beugler, et à mordre pour n'importe quelle raison. dénués de classe et de bon sens. mais ta gueule, t'es pas le roi du monde. tu ricanes, si, justement. tu es le roi du monde et lui n'est qu'un sujet bon à te lécher les pompes. c'est ce qu'il devrait comprendre de lui même, il n'y a qu'à vous regarder pour le comprendre. alors tu le laisses te tourner autour, restant sur tes gardes, on ne sait jamais. c'est en meute qu'ils aiment attaquer, viles charognards. qu'est-ce que tu me veux ? j'ai sauté ta soeur et elle est venu pleurer ? tu l'attaques, et le coup de poing qu'il te décoche tu t'y attendais un peu trop. mais tu perdrais presque l'équilibre, t'as le cerveau qui bouge dans sa boîte et tu secoues la tête de gauche à droite. un nouveau ricanement. tu t'essuies la lèvre d'un revers de la main, et un sourire diabolique étire tes babines quand tu aperçois le sang sur ta peau d'albâtre. c'est qu'il ne t'a pas raté l'enfoiré, il ne t'a pas raté et t'en jubilerai presque. il a toujours les poing serré le gamin, hargneux. c'est donc bien ça. lâches-tu dans un nouveau rire qui secoue l'intégralité de ton corps. c'était quoi le problème ? c'était trop court, elle en voulait encore ? demandes-tu jovial. je lui ai fait mal peut-être ? tu grimaces, hypocrite au possible. et tu t'approches de lui le buste droit, menton relevé. tu le toises le brun et tu saisis le col de sa veste comme si tu voulais le regarder d'un peu plus près. y'a la rage au bout de tes doigts, pour le coup que tu viens d'encaisser, mais le voir devenir fou, c'est encore mieux que lui asséner une bonne droite. et elle m’envoie quoi ... toi, pour défendre son honneur ? ... pathétique. tu le repousse violemment. la prochaine fois, dis lui de réfléchir avant de coucher avec le plus gros connard qu'ait enfanté le planète Terre. craches-tu irrespectueux. t'as passé l'âge des remontrances, passé l'âge des bastons de bac à sable pour une baise d'un soir à peine passable. alors tu tournes les talons comme tout bon Capulet, pour vaquer à tes occupations. t'as mieux à faire, t'aura toujours mieux à faire. |
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☾ pseudo : za ☾ avatar : david prat ☾ querelles : 422 ☾ destiny : 27/01/2018 ☾ territories : le sud, désert qui ne fait pousser que roses noires, repaire des serpents. à ruminer dans sa chambre d'enfant dans la demeure des montaigu, jamais rentré pour la nuit.
| . ✦ ⊹ Jeu 1 Fév - 1:06 ⊹ ✦ . | | |
| | | | . ✦ ⊹ Ven 2 Fév - 17:00 ⊹ ✦ . | | tu le pensais moins con. mais tu aurais du te douter, un Montaigu reste un Montaigu. y'a sa main qui saisit ton col, ta chemise à milles cinq cent dollars en perds des boutons quand il te jette au sol, tu grimaces et un grognement t'échappe quand ton corps heurte la poussière. qui t'as dit que j'en avait terminé avec toi. enfoiré. tu n'as pas le temps de répliquer, c'est un violent coup dans le ventre qui te coupe la respiration. enfoiré. celui là c'est pour Cass. nouveau coup de pied dans les côtes, t'as senti un craquement mécontent, mais ce qui t'a le plus marqué c'est sa putain de phrase. Cassandre, tout s'explique maintenant. un homme à l'âme du sauveur, un ami de longue date ? un prétendant ? un ex ? son mec ? et t'as envie de rire, et tu ris malgré toi allongé là sur le sol. du sang sortant légèrement de ta bouche. t'inquiète, elle m'envoie pas, elle me botterais le cul si elle savait. ça me démange de parler de toi à son père, il sait comment faire disparaître les gens, lui. et puis si t'es mort, je peux plus te taper, c'est beaucoup moins amusant. les Montaigu et leur esprit de vengeance mal ficelé, t'as jamais réussis à comprendre, et quelque chose te dit que ce n'est pas aujourd'hui que tu comprendras quoi que ce soit. c'est pas drôle si tu te défends pas, t'aurais dû rester de ton côté de l'eau, dans ton grand château, viens pas toucher à ce qui nous appartient, tu vas le regretter. et l'homme te menace, et tout de suite ton regard change. tes yeux bleus sont devenus noirs, un doux mélange de haine et de folie. tu te redresses lentement, ne quittant pas le clébard hargneux du regard. tout ça pour Cassandre ? et tu te marres, un rire machiavélique comme celui d'un démon sorti tout droit des enfers. je comprends... ironises-tu les meilleures pipes de tout le Nord. y'a de quoi se mette dans tout ces états. t'as un sourire jusqu'aux oreilles. t'as pas réussis à la faire jouir alors tu te défoules sur le seul mec qui a des couilles ici bas ? t'arques un sourcil comme si la question était des plus sérieuse. justement j'allais chez elle, je peux t'apprendre deux trois mouvements pour ton prochain rencard. lances-tu tout en mimant des coups de butoirs. et tu fais un pas vers lui, le toisant de toute ta hauteur. cette fois le ton de ta voix change du tout au tout. je me suis montré patient, je t'ai laissé te comporter comme un homme pour te faire plaisir, alors maintenant, tu dégages si t'as pas envie de finir avec une balle entre les deux yeux. c'est un ordre. comme un maître à son chien mal éduqué. c'est tout ce qu'il mériterait, qu'on le pique pour ne pas savoir se comporter. j'ai pas peur d'un Shelby, alors tu crois que je pourrai avoir peur de toi ? sincèrement. tu pourrais sortir ton flingue, lui coller sur la tempe et le tuer sur le champ si l'envie te prenait. mais tu sais qu'il n'a pas besoin que tu lui ôte la vie, d'autres s'en chargeront bien assez tôt. peut-être même Cassandre elle même. mais tu ne lui tournes pas le dos, tu maintiens le regard, attendant qu'il se barre le premier. |
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☾ pseudo : za ☾ avatar : david prat ☾ querelles : 422 ☾ destiny : 27/01/2018 ☾ territories : le sud, désert qui ne fait pousser que roses noires, repaire des serpents. à ruminer dans sa chambre d'enfant dans la demeure des montaigu, jamais rentré pour la nuit.
| . ✦ ⊹ Sam 3 Fév - 17:38 ⊹ ✦ . | | |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 4 Fév - 19:43 ⊹ ✦ . | | tu le cherches le Montaigu, tu veux voir ce qu'il a dans le ventre. tu veux voir si il pense que se mesurer à toi est une idée envisageable. alors tu deviens piquant, un peu trop piquant. et l'homme tente de te rendre jaloux, tu avais donc raison. il se tape Cassandre, surement plusieurs fois par semaine, de long en large et en travers. et monsieur ne supporte pas qu'un Capulet lui passe dessus, régulièrement fut un temps. alors tu ris, tu enchaînes. et tu ne baisses pas les yeux, jamais. à ta dernière réplique il attrape ta gorge, sa poigne écrasant ton larynx avec force. t'en as le souffle coupé, mais ton regard reste rivé sur le connard. personne ne touche un Capulet sans en payer les conséquences. il sort un couteau de sa poche, efficace, et la lame se pose contre tes côtes. qu'il te plante, t'en as rien à cirer. privé d'une respiration normale, tu te retrouves obligé à reculer jusqu'à ce que ton dos percute un arbre. souffle coupé de nouveau, tu serres les dents, ta main agrippé au poignet de l'homme pour tenter de remplir convenablement tes poumons. la lame vient se planter dans a peau de ton visage, et tu grimaces de rage. tiens, tu saignes rouge, je me suis toujours demandé. et il se croit drôle en plus de ça. il continue son manège le gosse, fait descendre le couteau jusqu'à ton entre jambe, menaçant tes bijoux de familles comme si tu étais un vulgaire chien bon à castrer. mais il n'en fera rien, il n'a pas ce qu'il faut dans le froc, t'en es certain. et le destin te donne raison quand il te lâche et t'envoie son poing en pleine figure. le craquement est inquiétant, et t'as du sang qui coule de tes narines. t'as pas le nez cassé, mais t'as l'arcade ouverte pour sûr. sur ta chemise blanche perlent des gouttes d'un rouge vif. et quand tu relèves les yeux vers lui, t'as le regard qui a vrillé. ton sourire n'est plus le même. l'expression complètement transformée, et d'une main de fer tu te saisis de ses burnes que tu serres avec vigueur. l'envie de les faire exploser au bout des doigts. et c'est ton flingue que attrapes d'un geste éclair, le canon brille devant les yeux du Montaigu. tu appuies celui-ci contre sa joue. ouvre la bouche, bien grand ! que tu hurles presque, alors tu ne lui en laisses pas le temps t'as déjà forcé l'entrée de celle-ci, tu voudrais lui enfoncer jusqu'à la glotte. qu'il vomisse toute la merde qui l'habite. vue que t'as une grande gueule, peut-être que tu la fermeras comme ça, non ? que tu craches en remuant ton flingue, le faisant cogner contre ses dents. qu'il s’étouffe avec. je voulais juste voir si t'avais une grosse paire de burnes, mais visiblement c'est pas le cas enfoiré. tu continues, serrant un peu plus ses parties entre tes doigts indélicats, puis tu les relâches enfin. sourire en coin alors que tu agrippes le col de son t-shirt, tu sors le flingue de sa bouche pour le coller contre son ventre maintenant. tu pourrais lui faire exploser les entrailles, tirer juste là et tout bousiller à l'intérieur, qu'il crève de ses sucs gastriques. je t'assure que tu aurais mieux fait de me tuer quand tu en avais l'occasion. termines-tu avant de lui asséner un coup de boule qui te fait voir les étoiles également. l'homme s'échoue sur le sol poussiéreux et tu te jettes sur lui sans attendre, à califourchon au dessus de lui, tu le frappes à la tête une fois, deux fois, le flingue te servant de poing américain. tu veux lui refaire le portrait. et y'a le sang qui gicle. t'as la rage meurtrière. tu finis par poser l'arme entre ses deux yeux. t'es prêt à crever, là, pour le cul de Cassandre ? ... j'avais plus vraiment envie de me la faire, mais on va dire que t'as réveiller mes pulsions. ricanes-tu mauvais, t'as les babines retroussées comme un animal, les crocs sortis. t'as le choix, je t'explose le crâne, ou tu me laisses aller la sauter là tout de suite. en fait, il ne l'a pas. quoi qu'il dise, t'ira la sauter, alors tu peux bien répandre sa cervelle sur le sol avant. |
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☾ pseudo : za ☾ avatar : david prat ☾ querelles : 422 ☾ destiny : 27/01/2018 ☾ territories : le sud, désert qui ne fait pousser que roses noires, repaire des serpents. à ruminer dans sa chambre d'enfant dans la demeure des montaigu, jamais rentré pour la nuit.
| . ✦ ⊹ Mar 6 Fév - 22:08 ⊹ ✦ . | | |
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