| | | . ✦ ⊹ Dim 8 Oct - 14:53 ⊹ ✦ . | | Léon "Kidd" Blues to all the people i know who prayed for me
ft. dawid auguscik banginformations CRIMSON PISTOLS name blues dans l'âme, blues dans la peau, blues qui écorche les cœurs amouraché... blues, nom qui fait frissonner d'émois comme de dégoût, hommes aux mains baladeuses qui n'hésitent pas à profiter de leur statut hiérarchisé. crystal, blues. first name léon. vieillesse de ce prénom hérité du patriarche vieillissant, léon qu'il déteste au plus haut point. léon, la violence dans le sang. mais kidd qu'il préfère entendre murmurer, comme un écho funeste de ces méfaits passés et actuels. le frisson de la petite frappe qui pourrait changer toute une vie en un claquement de doigts... des quatre planches de séquoia à un luxe dégoulinant de mauvaises intentions. birth certificate la carte d'identité clame l'arrivée d'un stigmate supplémentaire tous les douze août, lionceau qui ne grogne et ne rugit jamais assez fort. age les hommes se bonifient avec le temps, répète inlassablement dans une profonde liturgie le paternel blues. les vingt-sept cigarettes qui se consument dans le cendrier, les opales défoncées par les trop nombreux rouleaux de printemps (aux herbes fraîches) qui s'étiolent entre ses doigts. nonchalance qui accompagne les années qui se fanent. sex on fire les courbes généreuses des femmes qu'il aime effleurer du bout des doigts. mensonges éhontés qu'il aime murmurer alors qu'il se perd entre leurs reins pour mieux se contenter. la solitude qu'il vient éprouver contre les poitrines rebondies de ces femelles agaillardies. il aime le creux de leurs reins et leur croupe remontée vers ses lèvres, les bouches pulpeuses à embrasser et des cils rehaussés par du mascara d’un noir de jais. relationship status célibataire. le renoncement a déjà commencé à s'établir dans l'artère aortique de ne jamais trouver chaussure à son pied, amour obsessionnel trop souvent remplacé et qui ne saurait pourtant le quitter. job les richesses qui coulent à flot, l'amour qui en a toujours été que mieux rabroué. le fils à papa qui s'engonce avec fierté dans une arrogance qu'il n'a jamais mérité, profitant avec allégresse des biens qui s’amoncellent à ses pieds grâce à quelques mots savamment prononcé dans l'oreille de ces cousins éloignés qu'il a si facilement berné. enfant égoïste et capricieux incapable de rester à sa place, les rues dégueulasses et malodorantes qui attirent son âme égratignée. receleur dans une petite boutique perdue où il adopte une autre manière de se vêtir, un visage qu'il se plaît à masquer en partie. il empoche les biens dérobés aux plus riches (certains sont même peut-être les siens...) pour les revendre avec un amusement qu'il ne peut feindre. money il vient de la fange, léon. les rues dégueulasses, la gueule cabossée par les poings-marteau de papa, la solitude et la rage comme seules alliées. mais léon, il est pas con. alors léon il a murmuré aux oreilles des chevaux pour ces cousins éloignés enlisés dans de la pitié, a su être assez présent pour qu'ils l'acceptent comme l'un des leurs. et le nom scarifié sur le papier le stipulant comme seul héritier, luxe dont il a su profiter à la seconde où les deux pigeons ont cessé de respirer. allegeance les crimson pistols pour qui il accepte de courber l'échine. les armes qu'il revend sans réellement se soucier des propriétaires, léon qui choisit un camp plus parce qu'il le faut que par réel intérêt. son intérêt avant tout le reste, l'anarchie comme seule amie. simple membre qui revêtit plusieurs casquettes, tantôt trafiquant d'armes, tantôt receleur de milles-et-unes merveilles. light & shadows light : bon vivant, spontané, sociable, persuasif, charismatique, avenant, doux, généreux, aimable, intelligent, drôle, un poil excessif et orgueilleux, sophistiqué, calme, chaleureux, fier, logique, juste, courageux… shadows : rebelle, grossier, joueur, baratineur, insoumis, sarcastique, violent, séducteur, indépendant, impatient, colérique, leader, pervers narcissique, cynique, charismatique, impulsif, misogyne. in the desert dusk les tatouages qui s’amoncellent contre les vallées de ses muscles jusqu'à mourir sur son visage. sa vie entière, son passé qui s'est écrit par désir et parfois malgré lui le long de son épiderme en de grandes arabesques. léon qui essaie de les cacher autant que faire se peut quand il se perd dans les dédales luxueux de ces gens de la haute qu'il tente de tromper, ô charmeur de serpents. léon qui joue sans cesse avec un couteau-papillon, arme discrète qui ne quitte jamais sa main ou sa poche. le besoin d'être protégé, le palpitant qui vrombit face aux souvenirs violents, avilissants, face à l'humiliation, face à la faiblesse passée. léon ne courbera plus jamais l'échine. léon ne sera plus jamais l'objet de quelqu'un. léon l'indépendance, léon le lion. wildest dreams le kidd, il veut s'asseoir sur les sièges des plus grands. pas de limites à son ambition, les souliers qui trépignent d'impatience d'être posés sur le coin d'un bureau, vue sur la ville, perdu dans les hauteurs des nuages duveteux. il les possédera tous un jour, il se l'est promis. fortress heart léon, il cherche la violence. oh oui il la cherche, dans les bars, dans les rues malfamées, dans un mot trop haut (ou mal) placé. mais léon, il a peur d'être frappé au fond. léon ça le dérange pas d'être amoché, léon tremble juste tard la nuit dans ses draps en satin de tout perdre, d'être à nouveau criblé de coups, d'être un père indigne... d'être un père tout court. léon est criblé de peurs mais léon est doué pour les cacher. playlist artic monkeys - do i wanna know ? ; pink floyd - goodbye blue sky ; tame impala - the less i know the better ; french montana - unforgettable ; maroon 5 - what lovers do. bangjust one yesterday les talons qui claquent. le rouge à lèvres carmin qui nimbe ses lèvres pulpeuses, la poitrine serrée dans une robe trop courte. il la dévore des yeux, léon. l'inconnue est la seule chose qui compte à présent dans cette pièce qui manque d'air à présent. les rues qu'il connaît par cœur, labyrinthe de sa vie. l'avenir dont il semble dépourvu, son intelligence comme unique arme malgré un quotidien défavorisé par une famille brisée. les poings de papa armés vers ses côtés encore couvertes d'ecchymoses, les dents serrées d'être toujours si tuméfié, et le corps tendu par cette nouvelle venue. longue crinière blonde qui tombe en cascade contre son dos, cambrure qu'il suit avec intérêt. il imagine déjà ses mains vissées contre ses hanches, des baisers légers déposés contre sa colonne vertébrale. obsession. adoration. perdition. trois mots synonymes d'une lola qui lui fera perdre la tête quelques semaines, quelques mois, jusqu'à l'ascension. la richesse embrassée, le gamin lassé. lola jetée, lola oubliée. ils n'étaient pas liés. deux amants qui venaient juste s'oublier l'un avec l'autre, l'un dans l'autre, distraction appréciée. et pourtant. après toutes ces heures passé loin de l'autre, toujours la même pensée. toujours ce souvenir imprimé, cette chevelure dorée qui bascule au rythme de sa démarche féline et chaloupée. souvenir de ses lèvres entrouvertes en train de le remettre à sa place, souvenir de ce caractère bien trempée et de cette lol(it)a impossible à oublier. et les journées qui s'effacent, le pouvoir qui l'embrase, les mains serrées pour sceller les contrats déjà énoncés. le gamin qui s'efface au profit du dandy passionnant et passionné, cruauté masquée derrière l'affabilité, passé si bien détourné des conversations intéressées. léon ne vient de nulle part. léon a toujours été là sans l'être. léon sera toujours là, tapi dans l'ombre, le monde à l'agonie sous son talon. jusqu'à ce qu'elle signe sa perte, némésis, amante, harpie, furie... la seule, peut-être, a avoir compté... la seule à pouvoir le faire tomber.
Dernière édition par Léon Blues le Lun 9 Oct - 18:25, édité 7 fois |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 8 Oct - 14:54 ⊹ ✦ . | | M(o)urir people wander people talk
le bruit de la chair dure qui rencontre la chair lisse et molle. les métacarpiens qui s’abîment contre la chair d’autrui, cruor qui s’agite déjà sous la peau blême d’avoir reçu de trop nombreux coups. « j’suis désolé, murmure le gamin, recroquevillé dans un coin. « j’suis vraiment désolé, qu’il insiste. c’est des suppliques plus que de véritables excuses. c’est des « arrête, j’ai rien fait », des « j’mérite pas ta colère, ton venin, ta haine ». c’est surtout des « j’suis ton fils, merde ! » et beaucoup de sanglots piégés dans l’œsophage. « un homme ça n’pleure pas et ça n’supplie pas. clame la voix bourrue… celle qu’il se plaît si souvent à appeler papa. mot qui donne aujourd’hui un haut-le-cœur d’une violence bien plus intense que la douleur de ces coups habituels qui pleuvent contre sa peau bleuie. « j’supplie pas, j’énonce. » il répond l’gamin, le menton relevé et les yeux humidifiés bien ancrés dans ceux – grisés et vieillis – du paternel haïs. « je suis désolé », il insiste, il provoque. il devrait pas, il le sait… mais léon en a assez de courber l’échine. léon en a assez de cette masquarade. « c’est pas d’ma faute si maman s’est barrée. c’est qu’la tienne d’être un putain d’enfoiré. » le courage dont il s’arme, les poings déjà préparés à une confrontation qui n’arrivera jamais. papa envoie encore ses poings contre son menton, ses pommettes saillantes, ses côtes encore fêlées. « j’ai rien fait ! c’est d’ta faute ! dès qu’t’es arrivé, elle a arrêté d’m’aimer ! » il beugle, le nez encore rougi par le nombre de bouteilles de vins qu’il s’est enfilé. il hausserait les épaules, léon, si seulement il pouvait. l’épaule a l’air déboîtée. y’a du sang qui a éclaboussé contre les murs, le sien. léon s’défend pas, jamais. léon fait pas l’poids… pas encore. mais léon il finira par s’venger. […] les mots qui sortent en torrent. il arrive pas à s’arrêter, aveux qui libèrent le cœur autant que l’âme. il le frappe depuis des années… léon ne cesse jamais de le cacher. l’assistante sociale a débarqué au collège, a trouvé les bons mots pour pousser le gamin à s’confier. et quelques mois après cet entretien salvateur, les sirènes rouges et bleues s’impriment le long des murs de la baraque crasseuse aux murs délabrés et aux traces suspectes révélatrices des sévices torturés. léon part se cacher derrière son lit, trop apeuré à l’idée qu’ils puissent venir pour le malmener davantage… mais quand les coups retentissent contre la porte boisée, le palpitant s’arrête. le souffle est retenu, l’oreille tendue. papa qui ouvre la porte après quelques rappels des policiers, le marcel dégueulassé par un repas pris sans intérêt, la sueur recouvrant ses bourrelets. « monsieur, vous êtes en état d’arrestation. vous avez le droit de garder le silence. » léon recommence à respirer, malgré la tête qui lui tourne un peu trop fort. il sort de sa cachette, s’approche timidement malgré ce corps d’adolescent qui est aujourd’hui le sien. myocarde qui manque d’exploser, artères coronaires au bord de la crise de nerf. papa le regarde immédiatement, le pointe du doigt. « toi… » il éructe, les joues écarlates à cause de la haine qui brille maintenant dans ses yeux. il souffle comme un bœuf, s’élance vers sa progéniture tant détestée. si les flics ne l’avaient pas arrêté – en voyant les bleus comètes s’additionner sur la face poupine –, les coups l’auraient atteint à nouveau. léon est libéré. malgré les menaces vaporeuses qui brouillent ses rétines folles. […] léon il peut pas vivre dans la misère, léon il en a assez. des cousins éloignés de maman ne tardent pas à le contacter, touchés par l’histoire de ce môme délaissé. et léon, il saute sur l’occasion. il noircit encore davantage le tableau, miaule qu’il n’a plus d’endroit où se terrer… les ponts seulement qui pourront l’accueillir. la pitié qui noient leurs prunelles sombres. cette famille sans enfants qui décide de l’adopter, léon qui passe son temps à les épauler pour appuyer sur les sentiments contradictoires qu’ils doivent ressentir. léon a sans doute trop appris du paternel, léon joue sur la corde sensible… léon donne beaucoup de son temps pendant tout le lycée et même après pour prendre soin d’eux. il passe son permis moto, son permis voiture, les emmène à leurs rendez-vous médicaux. ils sont vieux, opale et théodore blues. ils ont besoin d’attention et léon leur donne tout, quitte à s’oublier… léon sait que ça va payer. et quand il apprend qu’opale est décédée, son myocarde cogne fort contre sa poitrine. tristesse certaine mais inattendue qui vient noyer le palpitant, espoir toujours brillant entre les cicatrices de ses côtes qu’il touchera un petit quelque chose. rien. nada. colère. déception. rage. il ravale toutes ces émotions, se montre encore plus présent avec théodore. discours qu’il rédige avec soin et (malgré tout) amour pour opale, moments « père-fils » qui se créent malgré lui… et le lien indéfectible qui s’établi. léon ne veut plus que théodore meurt. léon envisage presque de tout balancer, toutes ces années à les manipuler… mais léon ne peut pas. léon a besoin de ce luxe auquel ils l’ont habitué. léon a besoin de prendre sa revanche sur le monde, d’écraser tous ces insectes qui subsistent et qui l’ont tant brisé sous la semelle de ses souliers. alors léon se tait. léon ravale sa fierté, ses sentiments (scellés), et léon attend. léon attend que le trépas de ce père de substitution arrive, léon attend que le cadeau soit sien. et léon est exaucé. léon est l’unique héritier du couple blues. léon hérite de millions. mais papa est sorti de prison. et papa le recherche. papa n’est pas décidé à abandonner. son fils est son jouet, son fils est sa propriété. papa ne laissera jamais léon gagner… mais léon a changé. léon a de l’influence, léon n’est plus vraiment léon. le kidd, tantôt dandy, tantôt receleur. léon qui cache plus d’un tour dans son sac, léon qui a bien trop appris du paternel pour se laisser à nouveau amadouer, pour se laisser être malmené. léon-lion qui les dévorera tous jusqu’au dernier.
Dernière édition par Léon Blues le Lun 9 Oct - 21:57, édité 4 fois |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 8 Oct - 15:00 ⊹ ✦ . | | Bienvenue dans le coin Bonne chance pour ta fiche |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 8 Oct - 15:27 ⊹ ✦ . | | bienvenue sur le forum ton début de fiche est sublime |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 8 Oct - 15:29 ⊹ ✦ . | | Super sexy, dis donc. Bienvenue, bon courage pour ta fiche. ♡ |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 8 Oct - 15:40 ⊹ ✦ . | | Très bon choix de gang Bienvenue et bon courage pour ta fiche |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 8 Oct - 16:48 ⊹ ✦ . | | |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 8 Oct - 18:59 ⊹ ✦ . | | |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 8 Oct - 19:07 ⊹ ✦ . | | L'avatar, le pseudo, la plume, c'est un sans faute pour moi (même ton titre me vend du rêve ) Bienvenue ici |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 8 Oct - 21:10 ⊹ ✦ . | | Un Crimson Pistols Bienvenue |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 8 Oct - 22:39 ⊹ ✦ . | | |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 8 Oct - 22:41 ⊹ ✦ . | | |
| | | | . ✦ ⊹ Lun 9 Oct - 14:45 ⊹ ✦ . | | |
| | | | . ✦ ⊹ Lun 9 Oct - 16:24 ⊹ ✦ . | | Oh un sexy crimson Garde-moi un lien |
| | | | . ✦ ⊹ Lun 9 Oct - 19:19 ⊹ ✦ . | | je connais pas ce monsieur mais il est bien bow bienvenue sur le fofo |
| | | | . ✦ ⊹ Lun 9 Oct - 19:36 ⊹ ✦ . | | |
| | | | . ✦ ⊹ Lun 9 Oct - 20:09 ⊹ ✦ . | | je pleure voilà ksnsksnksnsksbjs t’es magnifique jtm |
| | | | . ✦ ⊹ Lun 9 Oct - 22:47 ⊹ ✦ . | | @léon blues je t'attends sagement, surtout avec cette fiche divine |
| | | | . ✦ ⊹ Mar 10 Oct - 20:28 ⊹ ✦ . | | a desert odyssey welcome to night vale ta fiche Cet opportuniste qui ne pense qu'à son petit intérêt ça peut donner des situations intéressantes si dans le futur il a des choix à faire envers son gang . Ta canaille m'a beaucoup plus, il est cool Léon, c'est vraiment le mot. Et ton style est renversant, captivant, j'ai tout aimé, tout. - Citation :
- léon est criblé de peurs
Est-ce que je peux avoir ce talent de la belle phrase please ? Ton deuxième onglet , je partage son obsession, mais moi c'est avec tes mots. Bref, fiche de malade pour un personnage à la hauteur de ce que j'attendais, je te valide avec le sourire congrats félicitations , tu fais désormais partie des hurlements du désert, les crimson pistols. Pétroleuses rouillées, des rêves pour seul horizon, il n'appartient qu'à toi de conquérir le monde. A commencer par night vale. lost & found Le destin t'a placé sous les ailes de Abel Montaigu . Tu fais désormais partie du groupe LES PERLIMPINPIN. registration c'est ici que vient la partie un peu administrative de ton arrivée à night vale. N'oublie pas de passer par la mairie pour enregistrer ton activité état civil afin qu'on ne te vole pas ton identité, à la chambre des commerces pour enregistrer ton activité commerciale, officielle ou officieuse, ainsi que ton logement. profil il est venu le temps de remplir ton profil. Ce faisant, tu aideras les autres joueurs à mieux cerner ton personnage this ship Maintenant que tu es en règles avec les autorités, il est temps de te socialiser Pour cela, n'hésite pas à ouvrir une fiche de liens ainsi qu'une fiche de topics. high tech A Night Vale, même si le réseau ne passe pas très bien, les habitants peuvent se doter d'un téléphone et d'un compte instagram, alors pourquoi pas toi ? story Night Vale, c'est avant tout une histoire. Pour être au courant de tout ce qui se passe dans cette petite ville du Nevada, n'hésite pas à squatter cette partie. questions si tu n'as pas tout suivi ou que des questions perdurent dans ta demeure, n'hésite pas à venir invoquer l'esprit du désert en passant par ce sujet. the end Amuse-toi bien sur SATN et encore bienvenue à toi |
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