| (roseanne) i've got fire in my soul |
| |
| . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 18:34 ⊹ ✦ . | | roseanne macleod leave the horror here, forget the horror here
ft. sophie turner banginformations justice & politique name macleod, le nom du père honni, le nom du père violent, le nom du père fuyard. nom que tu tentes d'apprécier uniquement parce qu'il te relie à ta mère, seulement séparée et non pas divorcée. uniquement parce que tu veux lui offrir une nouvelle dimension, le respect à la place de la honte. et aussi parce qu'il te rappelle le pays natal, le vert et le gris à perte de vue. first name roseanne, origine incertaine et improbable, tu n'as jamais vraiment su d'où ça venait, ni ce que ça voulait dire. c'était simplement une sonorité qui animait ta mère d'un sourire, alors l'explication était suffisante. la plupart du temps, on te surnomme rose ou rosé, tout dépend de la prononciation de ton interlocuteur. birth certificate c'est par un samhuinn crépusculaire, trente-et-un octobre, dans le petit mais non moins célèbre village de fettercairn au milieu des highlands écossais que tu as débarqué dans le monde. age vingt-quatre, encore à l'aube de la jeunesse mais déjà en plein dans l'âge adulte et les responsabilités quotidiennes qui s'en suivent. s'occuper de la màthair qui sombre dans la démence malgré le départ paternel, ramener l'argent à la maison, offrir un sourire imperturbable. sex on fire panromantique, les affres du coeur n'ont pas de genre à tes yeux, et tu es de ceux qui privilégient l'esprit à la place du corps. mais cela n'est pas pour autant synonyme de débauche comme certains dans ton entourage semblent le penser, demisexuelle que tu es, et incapable d'avoir une relation charnelle sans lien intensément romantique et intime avec autrui. relationship status actuellement célibataire, t'es l'amoureuse de l'amour qui ne trouve pas chaussure à son pied, trop exigeante et trop effrayée à l'idée de vivre un jour les violences conjugales dont ta mère a été victime pendant des années : ta confiance s'accorde difficilement, et de ce fait, tu n'es jamais restée plus de deux mois avec la même personne, et elles se comptent sur les doigts d'une main. job petite bleue, jeune flic, la fougue idéaliste, l'utopiste naïve, le tout mené par un brasier borné qui ne connait de limites que l'impulsivité et la témérité brûlante. money situation modeste ultra serrée en fin de mois, seul ton salaire rentre pour faire vivre la maison, ta mère, et toi même, alors forcément les impayés s'accumulent, les factures sont repoussées, et tu ne lésines pas sur les heures supplémentaires pour y remédier. allegeance y en a des corrompus, des vendus, des vicieux, mais toi t'es pas de ceux-là, roseanne. t'es de ceux qui représentent l'ordre et la justice avec brio, sans faille et sans corruption. peut-être naïvement de ceux qui ont trop d'espoir, trop de rêves, et pas forcément les moyens de les réaliser. mais t'as aussi la force d'y croire, comme un brasier incandescent, de croire que tu seras capable de changer les choses, qu'importe les obstacles, qu'importe les ennemis. qu'importe les sacrifices. bien sûr, t'es qu'une gamine, une fliquette, une bleue, et tu sais que bon nombre de tes collègues et supérieurs sont aux mains des capulet, sans savoir exactement lesquels. frustration lancinante, et encore une fois cette incapacité de faire pleinement confiance à autrui, même ceux que tu voudrais considérer comme des amis et des modèles. light & shadows la fougue, la passion, la méfiance, l'humilité, la joie, l'investissement, la ténacité, la force, la mélodie, l'accent, les éclats de rire, l'impulsivité, la main de velours, le poing d'acier, l’intransigeance, la curiosité, l'impartialité, la rancune, la solitude, la mystérieuse, la pile électrique, la tempête, les braises sous la cendres. in the desert dusk cicatrices boursouflées aux creux des cuisses vierges, accrocs acharnés sur la peau laiteuse, marques indélébiles et secrètes de moments passés douloureux. violine et emeraude encrée dans la chair et l'épiderme déjà taché de rousseur, formant les chardons délicats et piquants, ornant symboliquement une grande partie de tes reins. l'océanide des pupilles ressortant sous la chevelure en plumes de phoenix. voix un peu grave, peu commune, au fort accent des highlands qui ne s'est jamais éteint, et cette manie de jurer en gaélique lorsque les nerfs sont à vifs. addiction à la nicotine, toujours accompagnée de caféine, à moins que ce ne soit l'inverse. affection câline pour le chiot que tu as trouvé il y a un peu plus d'un an auprès du cadavre de sa mère, entre la vie et la mort. adoption inévitable, animal fidèle devenu fidèle ami et protecteur répondant au nom de gainmheach. wildest dreams il y a cette fable, légende urbaine, que tu entends de près ou de loin depuis que t'es gamine et qui t'a toujours plus ou moins... fasciné. obsédé. mais c'est devenu encore pire depuis tes premiers pas dans la police, depuis que tu te dis que peut-être, tu pourrais vraiment y faire quelque chose. la berline noire comme un fantôme qui s'évanoui dans la nuit noire et ne laisse derrière elle qu'un souvenir, le croquemitaine, légende ou réalité, la plupart des gens ne s'y arrêtent guère. mais toi, t'es différente roseanne. toi, t'essaie d'enquêter même si personne ne te soutiens, en dépit du refus de tes supérieurs, en dépit des ressources inexistantes : tu prends sur ton temps libre. tu as déjà crié haut et fort au serial killer, ce qui n'a eu pour résultat que des soupirs, et un énième repoussement de tes premiers pas sur le terrain à proprement parler. t'es pas assez corruptible pour être envoyée au coeur de l'action, alors on te coltine les dépositions, les agressions banales et les chats perdus. fortress heart il y a ces cauchemars récurrents, impossibles à repousser aux heures les plus sombres de la nuit. ce sont tes jambes qui se brisent dans des craquements sinistres, mauvaise chute, acte délibéré, qu'importe la situation, qu'importe le contexte, qu'importent les événements : le résultats est toujours le même. tu perds l'usage de tes jambes. à jamais. tu ne peux plus marcher. tu ne peux plus danser. tu ne peux plus vivre. c'est ton père qui vient hanter ton esprit, les cris et les pleurs de ta mère, le bruit des coups et des souffles coupés. c'est le visage paternel qui recouvre tous les autres dans un rictus moqueur, à l'haleine lourde du whisky du village. playlist dancing with the devil - marina kaye. spanish sahara - foals. cross my mind - twin forks. bangDANCING QUEEN On pourrait croire que ça ne te demande aucun effort, Roseanne, à voir la manière dont ton corps se détache du parquet miroitant pour s'élever et retomber ensuite gracieusement sans le moindre bruit, si ce n'est celui de ta respiration, de toute façon couvert par la musique qui empli la pièce. Mais rien n'est plus éloigné de la vérité. Car sous l'apparente grâce légère et délicate, se cachent force et ténacité. Les muscles se tendent, inlassablement. Durement. Les articulations sont sollicitées à chaque saut, chaque jeté de jambe, chaque balancé de bras. Ta nuque semble souple et arienne, mais ton port de tête haut est puissant, forgé tant par la pratique de la danse que l'attitude fière que tu te dois d'avoir en tant que femme dans un métier d'hommes. Mais la plus grande tension se concentre dans tes pieds. Enfermés dans des cercueils de satin rosé abîmé par le temps et le manque de moyens, compressés par des bandes pour te permettre les plus belles montées en pointes du pays. Mis à l'épreuve littéralement chaque jour depuis plus de dix ans, au bas mot. Ils sont abîmés : les pieds de danseuses ne sont jamais beaux, comme les mains d'un ébénistes ne peuvent être belles et intactes. Impossible de corriger les blessures de la danse, de remettre en place les os qui dévient de leur trajectoire, ni quoi que ce soit d'autre. Ces laides blessures sont la preuve de ta ténacité, de ta force tant morale que physique. Elles sont la preuve de ton travail, la marque de ton acharnement. L'évidence, quelque part, que tu n'es pas de celles qui abandonnent aux premières difficultés.
Dernière édition par Roseanne MacLeod le Lun 2 Oct - 7:40, édité 13 fois |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 18:34 ⊹ ✦ . | | ICE & FIRE there was a girl
Il y avait la pluie emmêlant tes immenses cheveux de feu. Il y avait les larmes roulant sur tes joues rougies. Il y avait la boue aux odeurs de bois tachant tes vêtements. Il y avait les bleus violacés, parfois noir, entachant tes bras. Il y avait le bruit des oiseaux et des cornemuses sous le ciel gris. Il y avait les hurlements bestiaux de ton père, et ceux plus plaintifs de ta mère. Il y avait la lumière éblouissante des crépuscules sur les plaines verdoyantes où tu courais en riant aux éclats. Il y avait les ténèbres poussiéreux du dessous de lit où tu te planquais en mordant tes poings pour ne pas faire de bruit. Il y avait l'odeur du feu de cheminée et des tartans de laine. Il y avait son haleine fiévreuse d'alcool.
Les sept premières années de ta vie, Roseanne, ont été aussi belles que destructrices. Malgré la jeunesse, tu te souviens du moindre détail : mémoire photographique et presque absolue que tu possèdes encore aujourd'hui, tant avantage que fardeau au quotidien. Mais heureusement, il y a eu la fuite. Précipitée, hâtive. Nocturne, improvisée. Comme des voleuses, la mère qui embarque la fille loin, aussi loin que possible. De l'autre côté de l'océan. Le père qui, de toutes façons, ne cherche pas à comprendre l'absence au petit matin. D'ailleurs, peut-être ne s'est-il jamais réveillé, étouffé dans sa gerbe immonde comme il le mériterait bien. Qu'importe. Mais vous ne saviez pas, alors la paranoïa était de rigueur. Plus qu'une simple méfiance, une véritable aversion envers autrui, envers chaque être humain.
Les plaines verdoyantes sont devenues désert, étendues de sable à perte de vue. Et il fallait bien qu'une nouvelle vie commence, tant bien que mal. C'est à ce moment que, gamine perdue et solitaire dans un environnement hostile, tu t'es abandonnée à la danse, de fil en aiguille, d'années en années, sans pouvoir t'en défaire. Exutoire, défouloir. A cette époque, ta mère se reprenait en main, elle savourait sa vie de femme libre à nouveau. Tout semblait prendre un cours normal, serein. Mais les blessures étaient profondes, trop, pour chacune d'entre vous. Toi, à l'aube de l'adolescence, elle, à l'aube de la ménopause, vous vous êtes perdues. Mutuellement. Tu n'as pas été capable de l'attraper dans sa chute. Elle n'a pas su t'empêcher de sombrer.
Comme son mari avant elle, la génitrice a sombré dans l'alcool, et après n'avoir connu que la violence pendant des années, elle ne pouvait plus communiquer autrement. Et toi, Roseanne, tu n'arrivais même pas à lui en vouloir. Tu culpabilisais plutôt, te sentais fautive du haut de tes quinze ans, de ne pas être assez forte pour la porter. Pour l'empêcher de devenir le fantôme de son époux. T'as pensé à quitter la maison, à un moment, mais t'en as jamais eu le courage. La force. Le cran. Les couilles. Peu importe comment on appelle cela. Tu l'as jamais eu. Peut-être qu'on appelle ça l'amour, tout simplement, mais putain ce que c'était douloureux. Autant que de voir son visage déformé et terni par la boisson. Autant que l'automutilation que tu t'infligeais. En punition, en soulagement. En fardeau, martelant que c'était bien fait pour toi, que tu ne méritais pas mieux. En délivrance, parce que la douleur te faisais sentir vivante.
L'école, ça a jamais été ton truc. Tu t'es vite ennuyée, incapable de tenir en place, alors dès que tu as eu l'âge tu as préféré tout arrêter pour avoir des petits boulots. Et même si tu avais voulu continuer le lycée, tu n'aurais pas put : ta mère devenait une épave digne d'un naufrage dans le pacifique si vous voyez ce que je veux dire, et il fallait bien s'en occuper. Elle touchait des aides, c'est encore le cas, mais cela ne suffisait pas. Il a fallu déménager, changer de quartier, et c'est comme ça que vous avez atterris dans un studio miteux de l'ouest de la ville. La danse, tu ne pouvais plus suivre de cours, mais ça ne t'empêchais pas de continuer par toi-même. Plutôt crever que d'arrêter. Plutôt cesser de respirer.
T'as finalement grandi trop vite, Roseanne, sans vraiment avoir le choix. Forcée de quitter l'enfance prématurément. Et t'aurais pu mal tourner, avec toutes ces merdes sur le coin de ta gueule. T'aurais pu arrêter de tourner tout court. Mais t'as tenu bon, avec cet air borné et téméraire qu'il te reste encore aujourd'hui. Envers et contre tout. Il te fallait te battre et t'accrocher à la vie coûte que coûte. Comme l'on s'accroche désespéramment à la falaise lorsqu'on est en train de tomber. Les ongles qui sautent douloureusement, la plante des pieds qui s'écorche jusqu'au sang, mais tout, tout pour ne pas lâcher prise et s'empaler sur les rochers acérés en contrebas.
Il fallait avoir au moins dix-huit ans pour passer le test d'entrée à l'école de police, et c'est sans trembler que tu t'es présentée dès l'aube pour enlacer un avenir que tu espérais meilleur. Et déjà bien endetté, la naturalisation pour obtenir la citoyenneté et donc pouvoir servir coûtait un bras, et la suite du programme un rein et bien deux paires de poumons. Alors t'as fait un prêt, pas vraiment le choix, un investissement pour ta vie qu'aujourd'hui, six ans plus tard, t'es toujours en train de rembourser chaque mois même si tu dois sacrifier des repas pour ça. Au moins, tu te sens intègre et honnête. Et Dieu sait que ce n'est pas le cas de tout le monde dans cette ville.
Tu le savais avant même de vouloir entrer dans les ordres, que les flics corrompus étaient nombreux à Night Vale, mais tu ne le pensais pas à ce point. Quand tu as été de l'autre côté de la barrière, tu t'es sérieusement demandé mais qu'est-ce que je fous là ?, Roseanne. Et le soir en rentrant, tu as croisé le corps comateux et imbibé d'alcool de ta mère sur le sol, penché sur elle, le fantôme de ton père, comme toujours, comme une ombre indélébile. Et tu as su ce que tu foutais là. Dans ce poste où la justice n'est clairement pas la priorité de tous. Tu espères pouvoir aider les gens, aider quelqu'un, du mieux possible. Qu'il s'agisse de violences conjugales, d'agression dans un lieu public, d'un simple vol de téléphone ou de bagnole. T'espères, Roseanne, pouvoir aider autrui comme t'as jamais été capable d'aider ta propre mère. Comme un repentir. Comme une chanson pieuse. Même si te faire trop remarquer par ton obstination risque de d'apporter un jour des gros ennuis dans ce monde vendu.
Alors il y a ta crinière rousse qui tourbillonne dès les petites lueurs du jour en passant les portes du commissariat. Alors il y a l'odeur des cafés qui se mélangent à la fumée des cigarettes. Il y a la danse et les croquettes de ton chien que tu payes avec toujours plus d'heures sup, parce qu'il faut bien vivre. Il y a ta mère, que tu évites pendant la journée autant que faire se peut, et que le soir venu tu laves et bordes comme si elle était ta fille. Alors il y a quand même les amis, même rares et précieux. Les virées et les débats houleux. Alors il y a les ombres au milieu de la nuit, la paperasse qui s'entasse. Il y a le sable dans tes chaussures et ce soleil, auquel tu t'es jamais habituée. Il y a ce burger délicieux au Tom's Diner, bien que tu tentes une fois par mois d'arrêter de manger de la viande par soucis économique. Alors il y a le meilleur, et puis le pire. La vie, tout simplement. Et c'est déjà bien assez.
Dernière édition par Roseanne MacLeod le Lun 2 Oct - 7:42, édité 7 fois |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 18:47 ⊹ ✦ . | | |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 18:48 ⊹ ✦ . | | Bienvenue à toi, bon choix de liens (et tu es toute belle en plus !) |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 18:50 ⊹ ✦ . | | bienvenue parmi nous |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 18:51 ⊹ ✦ . | | |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 19:14 ⊹ ✦ . | | Bienvenue ma toute belle La jolie sophie avec un pseudo qui est tout aussi beau Et ce pré-lien est juste dingue, vous allez vous éclater à le jouer, et moi je vais m'éclater à vous lire |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 19:17 ⊹ ✦ . | | Bienvenue par ici, ma belle Une flic, juste, BON COURAGE Mais je trouve ça top Ponds nous donc une fiche d'enfer pour vite mettre tous ces voyous sous les verrous |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 19:18 ⊹ ✦ . | | UNE FLIQUETTE bienvenue à toi |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 20:02 ⊹ ✦ . | | |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 20:06 ⊹ ✦ . | | Haan quelqu'un dans le groupe Justice, t'auras du boulot ici Sophie est magnifique, excellent choix ! Courage pour la fiche et bienvenue |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 20:37 ⊹ ✦ . | | Sophie, quel belle petite bouille d'ange Bienvenue à toi |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 20:44 ⊹ ✦ . | | sophie la magnifique bienvenue |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 20:49 ⊹ ✦ . | | Bienvenue dans le coin |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 21:05 ⊹ ✦ . | | |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 21:08 ⊹ ✦ . | | Sophie en flic, omg Va falloir qu'on se trouve un lien, obligé car mon perso est une ancienne flic qui est partie comme ils étaient presque tous corrompus Bienvenue et bon courage pour ta fiche |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 21:10 ⊹ ✦ . | | |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 21:52 ⊹ ✦ . | | sophie en flic tes choix sont parfaits et j'ai hâte d'en savoir plus omg bienvenue et bon courage pour ta fiche |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 21:53 ⊹ ✦ . | | Sophie en flicaille, j'adore Bienvenue parmi nous |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 23:11 ⊹ ✦ . | | |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 23:19 ⊹ ✦ . | | elle est du bon côté de la force, t'as tout bon. |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 23:33 ⊹ ✦ . | | omg, ce début de fiche. je meurs. ton perso envoie du lourd. bienvenue |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 23:34 ⊹ ✦ . | | sophie je voulais te souhaiter la bienvenue en te balançant un gif où xavier se dégage de son fauteuil roulant pour aller caresser les cheveux de jean après son cauchemar dans apocalypse mais je ne le trouve nulle part je suis déçue le personnage qui se dessine, ton lien avec ashley, le fait qu'elle soit dans la police j'arrive tout de suite te proposer un lien, je ne te laisse pas le choix bienvenue parmi nous |
| | | | . ✦ ⊹ Dim 1 Oct - 23:49 ⊹ ✦ . | | |
| | | | . ✦ ⊹ Lun 2 Oct - 0:13 ⊹ ✦ . | | sophie turner je l'aime d'amour vrai ET EN PLUS EN FLIC bienvenue sur le forum |
| | | | | | | |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |